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41. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »

J’ai déjà pu dire ici même tout le bien que je pense de Mlle de Craponne ; très nettement croisés ses entrechats ; très franche la parabole de ses jetées dessus.

42. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95

Imiter, contrefaire, tout en dansant, les pas, les attitudes, les manières ingénues, badines, et parfois grossières de l’habitant des campagnes qui, au son de ses instruments rustiques, se livre sans nulle retenue aux plaisirs de la danse et à des jeux que partage, avec une gaieté franche, sa compagne chérie ou son amante, c’est offrir le tableau du genre pastoral.

43. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »

Ce débat de la femme avec les voix, ce dialogue des mouvements avec les sons m’ont procuré le plus franc plaisir.

44. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »

Et elle apporte à certaines de ses réalisations un humour très franc, une verve résolument plébéienne.

45. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

A la suite de cet accident, un gentilhomme d’argent déposa dans la layette un contrat de rente de six mille francs. […] Opinion des camarades : — Franche comme un jeton. […] Or, un soir que la fine mouche avait, dans l’une de ces collectes, récolté une centaine de francs : — J’espère, lui dit une camarade, que tu vas me rendre les trente sous que tu m’as empruntés l’autre jour… — Moi, repartit la petite Vignon, payer mes dettes & à seize ans !

46. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

Eh bien, grâce à ces cinquante centimes demandés une cinquantaine de fois dans la nuit, les femmes se font par chaque bal une petite rente de quinze à vingt francs.

47. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

. — Elle a été longue à faire fortune ; mais elle a tellement fait des pieds et des mains, qu’aujourd’hui elle ne se ferait pas couper une mèche de cheveux pour dix mille francs.

48. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »

Hist. de Fr. sur l’année 1577.

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