/ 210
10. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo XI. Del Passo Staccato, detto Dégagé »

Il fine di tutti i passi non puol servire da principio agli altri da ligarsi con esso; onde fa di mestiere staccare un piede dall’altro, cioè torlo da quella posizione in qual finisce il passo precedente alla positura da cui deve cominciare il passo susseguente, e ciò vale per il Dégagé. […] [5] Non solo egli su quest’uso è buono; ma anche è necessario per guadagnar terreno: talvolta con due passi si dovrà traversare il Teatro, ma l’aria non il permette, non dona questo tempo; allora la virtù istessa del Ballante lo spinge ad acquistare il necessario terreno senza restar corto ne’ tempi: in battere non si puol far uso del Dégagé, a riserba di voler ballare o di contratempo o d’intercadenza; ma questo non accordo mai in principio o in fine del ballo.

11. (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo XIII. Del Passo Mezzo Gittato [Demi-jeté] »

Del Passo Mezzo Gittato [Demi-jeté] [1] L’uso di questo passo è assai frequente nel ballo nobile, ed avvegnaché rade volte nel principio: tuttavia si trova spessissimo nella fine di molti passi.

12. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »

Il n’était que fin. […] À la fin du spectacle, les Acteurs ou irrités ou enorgueillis de la diversité de leurs succès se battaient, s’égorgeaient derrière le théâtre. […] Tibère trembla que de pareils mouvements ne dégénérassent à la fin en des factions funestes au trône.

13. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3

En fin la longueur du temps non plus que la raison n’ayant peu matter ceste ambition qu’il auoit de triompher du merite d’vn autre, il fist dernierement transcrire sans aucune alteration, la coppie qu’il tenoit de moy & la feit grossir d’vn certain discours qu’il intitule Loüange de la Danse, & dont l’Autheur a vne entiere obligation à Agrippa en ses Paradoxes de l’incertitude & abus des Sciences. […] Car de s’obliger de traicter de la Methode pour les Dames, & n’en rien dire du tout : Promettre d’enseigner en son lieu deux ou trois sortes de reuerences, & de cela nulles nouuelles, ne parler que des trois premiers bransles fort legerement & renuoyer à vn discours plus ample qui s’en fait auec les autres, à vne inuisible Methode pour les Dames : donner en fin à vne piece imparfaicte, le tiltre de ce qu’il faut obseruer à la Danse pour en acquerir la perfection, sans les autres absurditez que pour n’estre ennuyeux ie laisse à remarquer à ceux qui en voudront prendre la peine, sont des apparences visibles que le Sieur Montagut a esté mal seruy pour son argent, lequel ne deuoit iamais pour son honneur auoir tant de creance à ce qui sortoit des mains de ce Copiste, que d’en mespriser la veuë, pour en effacer au moins ce qui pourroit asseurer le soubçon qu’il sçauoit bien deuoir naistre de ceste sienne charité enuers moy : Mais son genie luy en a joüé d’vne ce coup là, permettant à sa vanité de trahir son iugement.

14. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 février 1669 »

Robinet, lettre du 16 février 1669 Clio, dont le beau Feu me brûle, Et par qui sans fin je pullule Et je produis de nouveaux Vers, Sois-moi plus que jamais aujourd’hui favorable, Puisque entre mes Sujets divers, Il s’en trouve un inénarrable, À savoir le Ballet d’un Monarque adorable, Et qui doit être su partout cet Univers. 

15. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 »

La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 Grand ROI, de qui la complaisance, Se joint à la magnificence, Nous donnant un Ballet Royal Pendant le temps du Carnaval, Je puis assurer, je puis dire Que toute la terre l’admire, Et qu’on y court de tous côtés Pour voir ces pompeuses beautés, Dont les surprenantes merveilles Charment les yeux et les oreilles : Et même le Roi Casimir De le voir ayant le désir, Dit après ce plaisir aimable Qu’on ne peut rien voir de semblable, Et que la Cour du Grand LOUIS Sur toute autre emporte le prix, Soit en pompe, soit en richesse En bonne grâce et politesse.

16. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 15 novembre 1670 »

Robinet, lettre du 15 novembre 1670 J'ajoute, encore, pour la fin, Qu'à Versaille137, et qu’à Saint Germain, La Cour s’est, des mieux, divertie, Ma Muse étant bien avertie, Par un officieux Mortel, Que les grands Acteurs de l’Hôtel, Audit Versaille138, ont fait merveilles, Charmant les yeux, et les oreilles, Et que ceux du Palais Royal, Chez qui, Molière est sans égal, Ont fait, à Saint Germain, de mêmes, Au gré des Porte-Diadèmes, Dans le Régale139 de Chambord, Qui plût, alors, beaucoup, encor, Et qu’ici, nous aurons, en somme, Savoir le Bourgeois Gentilhomme, Lequel est un sujet follet De Comédie, et de Ballet.

17. (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo VII. Dichiarazione de’ segni che si trovano nelle Figure de’ Passi. »

E la seconda si è che, ritrovandosi due o più de’ detti segni così sopra i passi che sopra i piedi notati, i primi movimenti, salti, sdrucciolamenti e cascate che s’hanno a fare sono quelli che stanno più prossimi al capo nero de’ passi, ovvero al tallone de’ piedi; e poi da mano in mano succedono i secondi, e quanti mai ve ne fussero dinotati; serbando spezialmente una regola intorno alli segni de’ passi: che dove essi si troveranno notati, cioè nel principio, nel mezzo o nella fine de’ detti passi, in quel medesimo luogo, cioè nel principio, nel mezzo o nella fine del cammino, deonsi i detti movimenti, salti, sdrucciolamenti e cascate adoperare.

/ 210