/ 94
11. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15

Alexandre Dumas fils et Théodore Barrière. — Comment on devrait nous traiter. — Pourquoi MM. Dumas fils et Théodore l’arrière, déjà nommés, travaillent pour la morale. — Le lieu de ma naissance. — Ma tante et M. […] VII Lorsque des auteurs de talent, — Alexandre Dumas fils, Théodore Barrière et Lambert Thiboust, — nous ont jeté des choses dures à la tête, lorsqu’ils se sont creusé le cerveau pour nous dire en plein public ce que nous sommes, — comme si nous ne le savions pas mieux qu’eux, — ils ont commis selon moi une formidable boulette, ils nous ont pour ainsi dire sanctifiées : nous n’étions que des lorettes, ils ont fait de nous des « filles de marbre » ; nous ne voulions être que des « biches », ils nous ont métamorphosées en baronnes d’Ange, et filles de marbre et baronnes d’Ange sont apparues aux yeux des pères de famille moraux et des collégiens désireux comme des tribus envahissantes dont non-seulement il fallait se défier, mais encore qu’il fallait chercher à détruire dans l’intérêt de la « socilliété » !

12. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

Roger Marx, l’inspecteur des Beaux-Arts, a deux fils, qui, lorsqu’ils me virent pour la première fois, étaient âgés de quatre et de six ans. […] *** Lorsque j’avais seize ans, je fis la connaissance d’une petite veuve, qui avait deux fils âgés respectivement de sept et de neuf ans. […] La veuve partit pour l’Angleterre avec son fils. […] J’étais devenue, dès longtemps, une danseuse et retrouvai à Londres la veuve et ses fils.

13. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »

Il consistait en Sept Entrées, Qui furent fort considérées, Mais, surtout une, des Plaisirs, Qui flattent les jeunes Désirs, Où paraissait leur Source même Dans le GRAND PORTE DIADEME, Puisque c’est aux soins glorieux De ce plus puissant Fils des Dieux, Qu’on doit notre Heur, & notre Joie, Et ces beaux jours filez de soie.

14. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 août : Le Ballet des Destins accompagnant la tragédie de collège Jonathas — Lettres en vers de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 11 août 1669 »

Le Fils d’un Duc et Maréchal La Ferté, d’un air sans égal, Fut un des premiers Personnages Avec de très grands avantages.

15. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108

Je commercerai par mettre sons vos yeux, Madame, le danseur le plus étonnant de l’Europe, Vestris le fils, élève de son père, il parut à l’opéra dès l’âge le plus tendre. […] Ce fut Véstris le fils qui la lui traça ; ce fut lui enfin que l’on prit pour modèle. […] Vestris le père faisoit la pirouette beaucoup mieux que son fils, mais il ne la prodiguoit pas ; il la laissoit désirer.

16. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147

II La première catégorie se compose du gandin pur sang ; cette espèce est généralement un fils de famille titré. […] Il a fini par se croire fils de famille.

17. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »

Aussi, comment dire tout ce qu’il y a de sournois dans l’apathique inertie de ces couples à peine articulés, uniformément vêtus, qui sautillent ou s’affaissent au bout de leurs fils de fer ?

18. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »

le Fils de M.

/ 94