Saint Athanase, cet intrépide défenseur de la divinité du Verbe contre les ariens qui l’attaquèrent, a fait un excellent discours, qu’il emploie tout entier à montrer qu’il ne faut pas juger de la vérité par la seule autorité dé la multitude.
« Nous saurons ce soir, dit le Courrier des Théâtres du 7 décembre, si le faubourg Saint-Denis est taglioniste et le faubourg Saint-Martin elsslériste, ou bien si tous deux sont l’un et l’autre, ce dont on les dit véhémentement soupçonnés. » Le lendemain, le même journal donnait ainsi le résultat de la comparaison : « Les assistants se sont partagés entre les deux virtuoses ; ils nous ont montré ce qu’on devrait toujours faire en pareil cas ; ils ont joui du talent de l’une et de l’autre. » Excellent exemple et sage conseil, mais que Charles Maurice tout le premier s’empressa de ne pas suivre.
Puissent-ils y devenir des archives durables de la magnificence et du goût d’une ville illustre, dont le bon ordre et l’opulence attirent dans son sein tous les Arts, et qui par le concours immense des plus excellents artistes de l’Europe, est unanimement regardée comme l’école de l’Univers ! […] Dans un grand théâtre, avec d’excellents artistes, des acteurs pleins de zèle et de talents, que ne peut-on pas espérer du secours du merveilleux, pourvu qu’on sache s’abstenir de le gâter par le mélange burlesque du comique? […] On vit représenter avec la plus grande magnificence, six différents opéras français qui étaient entremêlés les jours qu’ils laissaient libres des plus excellentes tragédies et comédies de notre théâtre. […] Un grand amphithéâtre paré de tapis et bien illuminé, régnait tout le long et au-dessus du théâtre de la comédie italienne : il était rempli par une quantité prodigieuse d’excellents symphonistes.
Que tu es excellente dans l’imminence !
s’écriait-il ; car il s’agit d’une jeune et excellente femme, d’une artiste du premier mérite, de l’appui, du bonheur de plusieurs familles et d’une sœur dont l’existence est liée à celle qui porte admirablement un nom si cher et si doux !
Chez les modernes, on fait honneur de l’invention de l’opéra à Ottavio Rinuccini, poète florentin, qui, de concert avec Giacomo Corsi, gentilhomme son compatriote, excellent musicien, composa une pièce qui fut représentée en présence du grand-duc, de la grande-duchesse de Toscane et des cardinaux Monti et Montalto.
Excellents cœurs, mauvaises têtes, Sans raison comme sans chagrin, Du matin jusqu’au soir en fêtes, En noce du soir au matin ; Voilà les Lolo, les Lolo, les Lolo, Les Lorettes.
Le haut personnage en conclut que les rapports avec Fanny devaient être excellents.