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170. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51

Mais à fin de bien poursuiure le reste du Bransle, ceste entree se doit finir les pieds esloignez de demy pied, les pointes fort ouuertes, principalement celle du droit, & en cas que l’Escolier soit desia auancé, faudra luy faire couler tout ce bransle sur le mouuement des pieds, que s’il ne fait que commencer, il luy faut au premier pas faire plier vn peu les genoüils & assembler le talon droict au gauche, en se releuant sur la pointe des pieds, puis faire porter le pied gauche sur la pointe à costé & le droict deuant.

171. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Je crois, Monsieur, que celle que je viens de vous montrer dans une perspective éloignée, porte un caractère au quel l’humanité ne peut-être insensible, et qu’elle est en droit d’arracher des larmes et de remuer fortement tous ceux dont le cœur est susceptible de sentiment et de délicatesse.

172. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Je crois, Monsieur, que celle que je viens de vous montrer dans une perspective éloignée, porte un caractere, auquel l’humanité ne peut être insensible, & qu’elle est en droit d’arracher des larmes & de remuer fortement tous ceux dont le cœur est susceptible de sentiment & de délicatesse.

173. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

vous aimez doña Dorotea, je l’aime aussi ; donc nous allons, si vous le voulez bien, mesurer nos épées. » Celui qui s’exprime de la sorte est un jeune officier que Cléofas a parfaitement le droit de ne pas reconnaître, mais dont la moustache ne saurait nous en imposer, à nous qui avons bonne mémoire. — C’est doña Florinde en personne. — Elle s’y prend si galamment que l’écolier n’a bientôt plus de prétexte pour refuser de se battre.

174. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Au-devant des pieds droits des croisées cintrées, étaient d’autres girandoles qui figuraient des bouquets de roses. […] L’objet philosophique de tous les articles de cet Ouvrage, est de répandre, autant qu’il est possible, des lumières nouvelles sur les différentes opérations des Arts ; mais on est bien loin de vouloir s’arroger le droit de leur prescrire des règles, dans les cas mêmes où ils opèrent à l’aventure, et où nulle loi écrite, nulle réflexion, nul écrit, ne leur a tracé les routes qu’ils doivent suivre. […] On sait la propriété qu’ont ces arbres, d’être naturellement droits et toujours verts. […] Pour former une liaison agréable entre toutes ces parties, on avait posé des guéridons de feuillées chargées de lumières, qui conduisaient la vue d’un objet à l’autre par des lignes droites et circulaires.

175. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Elle fut le dernier produit de l’école française aux poses géométriques et aux écarts à angle droit… Déjà, Marie Taglioni s’avançait sur la pointe du pied, — blanche vapeur baignée de mousselines transparentes, — poétique, nébuleuse, immatérielle comme ces fées dont parle Walter Scott, qui errent la nuit près des fontaines et portent en guise de ceinture un collier de perles de rosée !

176. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

C…, le célèbre et spirituel avocat, et le pria de soutenir en justice ses droits contre ses parents et de leur faire les sommations d’usage.

177. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Gautier qui avait revendiqué très haut pour Fanny Elssler le droit de s’approprier les rôles de Mlle Taglioni et qui jugeait que la tentative avait parfaitement réussi.

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