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140. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Il n’en est pas de plus beau, de plus parfait & de plus digne d’admiration ; il peut être regardé comme le Prothée de nos jours car il réunir tous les genres, & les rend avec une perfection & une vérité qui lui attirent non seulement les applaudissements & les suffrages de sa Nation, mais qui excitent encore l’admiration & les éloges de tous les étrangers.

141. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

… Ce repas sans pitié passe toute appétence concevable et toute soif digne de foi !

142. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Quant à Adèle Dumilâtre, personne parmi nos pères n’a oublié le front large ; aux tempes molles et lumineuses, les yeux bleus transparents dans un ovale d’albâtre et le beau corps élancé, chaste et gracieux, — digne de la Diane antique, — de Myrtha, la reine des willis, au second acte de Giselle.

143. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Son fils, qui le suivit, par une autre méthode29, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et fut digne pourtant de son heureux destin : Mais chéri du public, du succès trop certain, Chant I, vers Vit dans l’âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque. […] Peignez-moi les amours de Mars ou de Vénus, Et que tous vos tableaux soient dignes d’être vus.

144. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

La société la plus brillante de Paris, réunie ce soir-là à la salle de la rue Le Peletier, accueillit, avec des transports d’enthousiasme, l’œuvre nouvelle qui formait, semblait-il, un digne pendant à Robert le Diable.

145. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

ce fut toujours aux Grecs un destin digne d’envie, que de mourir pour vous, et de souffrir sans se rebuter les maux les plus affreux.

146. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

C’est œuvre digne de louanges D’avoir placé ce temple protecteur Sur un chemin où tant de pauvres anges Ont à lutter contre le tentateur.

147. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Mais il est une chose dont je suis fier : pour apprendre comment on peut vous aimer et comment on doit vous aimer, si l’on veut être digne d’être aimé en retour par vous (à condition toutefois d’avoir des titres supérieurs aux miens), je souhaite pour votre futur bonheur, ma très chère Fanny, que tous ceux qui vous approcheront prennent modèle sur « Votre fidèle et respectueux admirateur, « Gentz. » C’est un langage un peu cérémonieux et guindé.

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