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110. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

» Il n’est pas difficile de recruter quelques coquins à qui fait pousser à la baguette les arbres et les colonnes. — Aussitôt sort de tous les coins une nuée de laquais chamarrés, galonnés, dorés sur toutes les coutures : majordome, maître d’hôtel, cuisiniers, marmitons, sommeliers, pages, valets de chambre, piqueurs, coureurs, cochers, palefreniers ; seulement, chacun de ces drôles a une tête d’animal.

111. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

s’écrie-t-elle, je suis absolument seule de mon avis. » *** Cette vogue colossale rendaient difficiles les rapports entre Marie Taglioni et les directeurs de théâtre.

112. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Le 12 juillet, Charles Maurice écrit : « Il est difficile d’être plus jolie, d’avoir des yeux plus ravissants que Mlle Fanny, et d’être plus majestueuse que Mlle Thérèse.

113. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

À ce moment paraît Décius, accompagné de Murena. » Il serait fastidieux de suivre Ritorni dans sa minutieuse description du jeu des deux acteurs en cette scène de séduction qui mettait Stendhal dans un état difficile à décrire20.

114. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Au mérite de bien danser, elle joint celui de bien chanter, deux talents difficiles à concilier ; sa voix est agile, claire, un peu aiguë, faible dans le médium, mais elle la conduit avec adresse et méthode, c’est une très jolie voix de danseuse.

115. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Si après ce premier mouvement on regarde les effets qu’elle produit sur l’esprit, il faut tomber d’accord que la Poésie, comme la Peinture, a la propriété d’instruire ; mais celle-ci le fait plus généralement ; elle instruit les ignorans aussi-bien que les doctes ; nous voyons même dans l’Histoire de la Conquête du Méxique, que ces peuples n’ayant pas l’usage de l’écriture, envoyoient des relations en peinture de ce qui se passoit dans le Royaume d’une Province à l’autre, par l’expression de la Peinture dont ils avoient l’usage au défaut de l’écriture ; desorte que sans ce secours il est difficile de bien pénétrer dans le reste des Arts, parce qu’ils ont besoin de figures démonstratives pour être bien entendus.

116. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Elle renonça volontiers aux joies des réunions familiales, aux succès assurés et même aux compliments de Sa Majesté, pour achever, rue Le Peletier, la difficile conquête du public le plus cultivé, mais aussi le plus récalcitrant du monde.

117. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

A Baltimore, lorsque Fanny, pour se dérober à des honneurs exagérés, voulut rentrer discrètement à pied, le retour n’en fut que plus difficile.

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