Qu’est-ce qui ne connaît pas le Casino-Cadet ? […] mon cher, tu ne connais donc rien ? […] Si, laisse donc faire, faut connaître tout le monde… — (Appelant) Eh ! […] Fais pas attention, ma fille, monsieur ne connaît pas le Casino-Cadet, et il cherche à s’instruire. […] Monsieur veut étudier les mœurs, comme… Eh bien, mon fils, on va le les faire connaître.
La Danse se trouve si intimement unie au plan général de Quinault, elle est une portion si essentielle de l’Opéra Français, que je ne puis me flatter de la faire bien connaître, qu’autant que la composition dont elle fait partie sera bien connue. […] Ils ont exposé sur un Théâtre des Héros dont la vie merveilleuse était connue : ils les ont peints en action, dans des situations qui naissaient de leur caractère, ou de leur histoire, et toutes propres à faire éclater les grands mouvements de l’âme. […] Quinault connaissait la marche de l’Opéra Italien, la simplicité noble, énergique, touchante de la Tragédie ancienne, la vérité, la vigueur, le sublime de la moderne. […] Il en écarta l’Histoire qui avait déjà son Théâtre, et qui comporte une vérité, trop connue, des personnages trop graves, des actions trop ressemblantes à la vie commune, pour que, dans nos mœurs reçues, le Chant, la Musique et la Danse ne forment pas une disparate ridicule avec elles. […] En liant à l’action principale la Danse qu’il connaissait bien mieux qu’elle n’a été encore connue, il se ménageait un nouveau genre d’action théâtrale, qui pouvait donner un feu plus vif à l’ensemble de sa composition, des Fêtes aussi aimables que galantes, et des tableaux variés à l’infini, des usages, des mœurs, des Fêtes des Anciens.
Elle qui connaît la forfanterie du Capitan, ne peut s’empêcher d’en rire, et il la fuit, en l’accablant d’injures. […] La Vérité se présente à ces deux hommes, qui ne la connurent point. […] Je ne connais que ce seul Ballet qui ait été donné au Public, comme Spectacle, ailleurs que dans les Cours des Souverains.
A cette époque, je ne connaissais pas les Anglais, comme j’ai appris à les connaître par la suite. […] Je ne connaissais personne aux Indes. […] Je les connaissais tous. […] Les seules que je connaisse sont Sylvia Grey et Letty Lind, de Londres. […] — Du diable, répondit-il, ce n’est pas l’âge qui compte, c’est le temps pendant lequel le public vous a connue, et vous avez été trop connue comme actrice pour nous revenir comme danseuse !
Des Mascarades Trois espèces de divertissements assez différents les uns des autres, ont été connus sous le nom de Mascarade. […] Il y en a une troisième, qu’on imagina en 1675 qui tenait aussi du grand Ballet, et qui, en allongeant la Mascarade déjà connue, ne fit autre chose que d’en changer l’objet principal en substituant maladroitement le Chant à la Danse.
XI une visite chez rodin La plupart des gens ne connaissent pas le temple d’art de Meudon, que le maître sculpteur, Auguste Rodin, a fait édifier auprès de sa demeure. […] Ils n’étaient jamais venus à Meudon, et ne connaissaient pas Rodin. […] Ces deux êtres sont connus de l’Univers entier. […] « Elle a même su nous faire connaître l’Extrême-Orient par ses choix éclairés.
Par un Dialogue vif, ou par quelque événement adroitement amené, on fait connaître au Spectateur le sujet qu’on va retracer à ses yeux, le caractère, la qualité, les mœurs des personnages qu’on va faire agir : c’est ce qu’on a nommé, l’Exposition. […] Cette division n’est pas la seule qu’il faut connaître et pratiquer. […] Étudiez les passions, connaissez leurs effets, les métamorphoses qu’elles opèrent dans les caractères, les impressions qu’elles font sur les traits, les mouvements extérieurs qu’elles excitent.
Il est des Sociétés choisies qui connaissent le prix des talents, des cercles aimables qui en jouissent, des âmes vives et délicates qui les aiment. […] Cette foule d’hommes oisifs qu’on ne saurait désigner que par les places d’habitude qu’ils occupent à nos spectacles, cet essaim de femmes à prétentions qui cherchent sans cesse le plaisir, et que le plaisir fuit toujours ; cette jeunesse légère, qui juge de tout, et qui ne connaît encore rien ; ces gens aimables du Monde, qui prononcent toujours sans avoir vu, et qui en effet rencontrent mieux quelquefois que s’ils s’étaient donnés la peine de voir, font tous partie de la multitude, qui prend le ton, sans s’en douter, des Artistes, des Amateurs, et de la bonne Compagnie12.