/ 126
72. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136

Attendons le moment ou les rayons bienfaisans de la paix, feront germer et croître les grandes idées.

73. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206

Il vient y attendre Zélis.

74. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

« Elle s’avance, dit Théophile Gautier, dans les Beautés de Paris, en basquine de satin rose garnie de larges volants de dentelle noire ; sa jupe, plombée par le bord, colle exactement sur ses hanches ; sa taille de guêpe se cambre audacieusement et fait scintiller la baguette de diamants qui orne son corsage ; sa jambe, polie comme le marbre, luit à travers le frêle réseau de son bas de soie ; et son petit pied, en arrêt, n’attend pour partir que le signal de la musique. […] Le Diable boiteux fit attendre avec patience aux abonnés la reprise de l’œuvre de Meyerbeer. […] Enfin le onzième jour les symptômes attendus se manifestèrent ; la circulation reprit son cours normal. […] Il n’avait pas attendu que Fanny fût hors de danger pour lui offrir un nouvel engagement aux conditions les plus séduisantes.

75. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

Effie est heureuse, James est triste ; Effie s’abandonne à la joie d’avoir un mari, à dix-huit ans, James s’étonne, il hésite, il regarde, il voudrait percer le nuage ; il attend celle qui doit venir, et cependant l’heure approche, il faut marcher à l’autel, il faut donner, à la jeune Effie, l’anneau du mariage. […] jette loin de toi ce tissu funeste ; attends que revienne la Sylphide, elle reviendra ramenée par l’amour.

76. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

Elle regardait, les yeux inquiets, ces murs nus, ce plancher sans tapis, et semblait s’attendre à voir le plafond ou le parquet s’entr’ouvrir pour la laisser entrer dans le royaume de Loïe Fuller.

77. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74

Créon témoigne le plus violent courroux ; le peuple consterné attend en frémissant l’issue d’un tel événement.

78. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35

Regardez tendrement Mérante et attendez !

79. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Après la représentation, le même équipage l’attend à la porte du théâtre, encadré de porteurs de torches et de musiciens qui sont revêtus de costumes grecs. […] » Van Buren l’attendait, entouré des ministres. […] « Dimanche dernier, raconte le Morning Herald, deux chaloupes magnifiquement décorées et portant chacune huit rameurs attendaient au pied de Castle-Garden, et la foule assemblée se demandait avec curiosité à quel haut personnage elles étaient destinées, quand parut l’enchanteresse Fanny Elssler qui, légère comme l’Ariel de Prospero, s’élança en riant sur les riches coussins de la chaloupe qui était celle du capitaine commandant le North Carolina. […] Les petites gens l’attendaient, pour l’acclamer, dans les rues, à la porte de l’hôtel, à la sortie du théâtre.

/ 126