Tu m’aimes pourtant, toi ; il n’y a que cela qui me donne un peu d’aplomb dans la vie. […] Je ne vous dirai pas qu’il est un peu triste, je sais qu’il est navrant ; mais je l’aime ainsi, et sauf quelques réparations peut-être nécessaires à sa solidité. — vous en jugerez, — je n’y veux pas toucher.
Connaissez votre siècle : il aime les Arts.
Les hommes frappent l’oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du cœur, lui parle, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait aimer ce qu’il enseigne, et qu’il donne la force de le pratiquer.
Marchons donc sur ses pas ; imitons sa clarté, Et de son tact précis aimons la pureté. […] que j’aime bien mieux cet auteur plein d’adresse, Qui, sans faire d’abord de si haute promesse, &c. […] « C’est un très-digne seigneur, disoit-elle de lui, mais il ne donne jamais envie de l’aimer ». […] La foule des spectateurs aime qu’on l’étonne. […] On voit que les anciens aimaient comme nous les grands spectacles à machines.
Voici ce qu’elles disaient : « Quand on vous voit, ou vous aime : « Quand on vous aime, où vous voit-on ? […] Est-ce qu’on aime des actrices ?
De plus, vous avez une femme et des enfans ; si vous les aimez comme vous le devez, pourrez-vous trouver de plus grand plaisir que d’être avec eux ? […] Et lorsque ce sont des amis sages et fidèles, que le commerce que l’on a avec de tels amis est accompagné de tempérance et de retenue, qu’y a-t-il de plus agréable que des enfans pour un père qui les aime ? […] Les pécheurs (ceux qui aiment le monde) me racontent des fables, des mensonges et des inventions de leur esprit ; ou, comme disent les septante, ils me racontent, ils me proposent des plaisirs, mais il n’y a rien là qui ressemble à votre loi ; elle seule remplit les cœurs d’une joie qui, fondée sur la vérité, dure toujours. » Je prie que l’on considère que ce n’est point ici une pure mysticité destituée de fondement, puisqu’elle est toute appuyée sur les saintes Ecritures.
Richelieu a aimé les chats ; Henri III, les chiens ; madame Sass, Castelmary. Nous comprenons la seule faiblesse qu’ait jamais éprouvée mademoiselle Villeroy : elle a tendrement aimé, pendant plusieurs années, un petit hérisson qui, d’ailleurs, lui témoignait toute la joie qu’il ressentait à se savoir le préféré d’une aussi charmante créature. » De Marconnay Encore une gentlewoman. […] *** C’étaient, enfin, les Brach, les Volter, les Villiers, les Ribe… Et puis, la bande des rats de l’époque : Nini, Salaba, Travers, Bélardel, Jousset, Accolas, Vauthier, Desvignes ; Gauguin, qui aimait tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure protégeait ; Subra, la sœur aînée de celle d’aujourd’hui, qui allait jouer la tragédie dans la banlieue sous le pseudonyme de Constance Léger, et qui joue maintenant sous son nom la comédie à l’étranger ; Pourchet qui déclarait si volontiers : « L’Empereur a dit comme ça à mon beau-frère… » Travers, qui obtenait tant de succès dans une romance de sa composition : J’avais quinze ans et j’étais jeune fille… et la petite Paillier, qui, complimentée par un abonné sur son minois de bergerette à la mode du siècle dernier, s’écriait en s’adressant aux camarades : — Comprenez-vous c’ t’ animal-là qui vient me dire que je ressemble à un Boucher !
J’aime moins le danseur, M.