Ce qui fait le charme personnel de sa danse c’est, avec le mystère de ses yeux d’ombre et l’acuité de son profil, surtout la serpentine souplesse du torse et le dessin sinueux des pas.
Et dans ce corps un peu lourd, dans ce visage un peu massif, une grande bienveillance très simple, une grande douceur surtout apparaît. […] Mais je suis heureuse, surtout, d’avoir pu réunir, dans une même page, les noms de deux maîtres de la forme, qui m’ont profondément émue et que je vénère affectueusement dans le fond de mon cœur.
Si j’eusse voulu épuiser mon sujet et en développer les nombreuses ramifications, il m’eut été facile d’entasser volume sur volume ; mais, et je l’ai déjà dit, je me suis attaché surtout à exposer avec clarté les premières notions de la danse ; j’avais en vue les mères de famille, et même les institutrices qui pourront facilement, moyennant une légère application, suppléer à l’absence d’un maître en consultant ce petit traité. […] Muni de toutes ces connaissances, l’artiste peut se livrer hardiment à l’effort de son génie ; mais qu’il s’attache surtout à faire un beau choix.
Il donna ses Obélisques à Rome, ses loix à la Grèce, ses institutions religieuses à l’Orient, ses colonnes et ses usages à plusieurs pays de l’Asie et de l’Europe ; il n’eût, presque surtout, que des idées vastes, ses ruines même nous étonnent, es ses pyramides qui subsistent depuis quatre mille ans semblent faire toucher le voyageur au premier siècle du monde. […] Quel contraste dur, et choquant dans une République surtout enthousiasmée des arts et des sciences, et qui s’en étoit déclarée si hautement la protectrice.
Mademoiselle de Nemours, Qui, dans la fleur de ses beaux jours, Est un amas de belles choses, Et, surtout, de lys et de roses. […] Vilequier, Marquise excellente, Spirituelles, intelligente, Dont la Personne a des appas, Et qui, surtout, fait de beaux pas, Étant parée, ou non parée, En dansant toujours admirée.
J’aurais surtout voulu rester indéfiniment dans la salle obscure à m’abreuver de cette délicieuse et déchirante tristesse que nous cause malgré nous le spectacle d’un être de grâce mêlé aux décevantes et amères choses de la vie.
Que de fautes, surtout intérieures, que bien des gens commettent sans presque y penser en les commettant ou après les avoir commises !