Montaubry, le ténor, honore aussi, à de certains soirs, le théâtre de sa présence. Il se moque de la troupe, de la pièce, de l’orchestre, des ouvreuses, de l’Entr’acte, des petits bancs. — Un de ces soirs, il se moquera de lui-même. […] — Pourquoi donc j’entre tous les soirs ?
Elle les sait à un tel point, qu’elle remplace, le soir, instantanément, la première venue. […] Julia, une biche de passage, a donné un soir pour excuse d’une représentation manquée : — Qu’elle avait oublié l’adresse du théâtre ! […] Il se lève à neuf heures du matin, donne jusqu’à midi des leçons de déclamation aux débutantes du théâtre, vient faire répéter jusqu’à quatre heures, et le soir joue un rôle écrasant jusqu’à minuit. […] Ernest Blum, y vient tous les soirs. […] IX Cependant, à de certains soirs, les coulisses se peuplent d’étrangers, le foyer resplendit d’habits noirs inconnus.
XXIV comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre Un soir, pendant l’Exposition de 1900, M. et Mme Jules Claretie vinrent, à mon petit théâtre de la rue de Paris, pour voir Sada Yacco, dans sa fameuse scène de mort. […] Ils voulurent bien accepter mon invitation et, un soir, ils arrivèrent au Théâtre d’Art pendant que je « travaillais ». […] Claretie sût que nous avions de très bons musiciens à l’orchestre, malgré qu’ils ne fussent pas au théâtre ce soir-là. […] « J’ai eu, l’autre soir, écrivait-il, comme la vision d’un théâtre futur, quelque chose comme le théâtre féministe. […] — la fée de la flamme de punch, a encore trouvé des effets nouveaux, et je m’imagine le pittoresque de ses gestes lorsqu’elle s’entourera de ces serpents noirs qu’elle a seulement maniés, l’autre soir, dans la coulisse, parmi les accessoires. » Ce soir-là, entre deux essais, M.
Les soirs de représentation, la danseuse doit arriver à l’Opéra sur le coup de huit heures. […] Un soir, au coin de la rue Saint-Nicaise, — où était situé l’hôtel de l’Académie, comme l’on disait alors, — il attendit, après le spectacle, le passage des gardes-françaises et sauta à la gorge de son heureux rival. […] La mère d’une danseuse entre un soir, en sanglotant, dans la loge de sa fille, au moment où celle-ci achève de se maquiller : — Oh ! […] D’ailleurs, tenez-vous-le pour dit : si nos héroïnes possédaient le moyen de se capitonner sans inconvénient, mademoiselle L… ne se serait pas exposée à entendre ce que M. de P… lui répondit, le soir de la répétition générale du Tribut de Zamora. […] Le soir du Tribut de Zamora, mademoiselle L… s’était installée sur les genoux de M. de P… — A charge de revanche, fit-elle en le quittant.
Je me suis souvent demandé si la police leur avait été aussi clémente au retour qu’à l’aller… *** A Marseille, lors de l’Exposition coloniale, quelqu’un des hauts commissaires artistiques me demanda s’il ne me plairait pas de donner un soir une représentation en plein air. […] Le soir de ma première arriva. […] Un soir il y eut bal à l’hôtel. […] Sans doute, en dépit de ma réserve et de ma froideur, y fût-il parvenu, si, un beau soir, il n’avait disparu, sous le coup de poursuites, et avec la réputation, brusquement et solidement établie, d’un chevalier d’industrie.
Le soir de mes débuts, la reine et la princesse Clémentine étaient dans la loge royale. […] Un soir que je dansais à La Haye, la princesse était dans la salle avec le major Winslow et d’autres personnes de sa suite. […] Je répondis : — Dites aux archiduchesses qu’elles peuvent me voir ce soir au théâtre. […] On m’a dit, par ailleurs, que, ce soir-là, les préoccupations du Shah avaient été pour une bombe qu’on lui avait annoncée comme devant être lancée sur lui dans la salle, bien plus que pour ma personne, mes danses et même pour le drapeau persan « profané » par moi. […] Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait, de venir me voir danser à l’Hippodrome.
Loret, lettre du 1er mars 1664 Ce Ballet si bien ordonné, De divers agréments orné, Et d’invention singulière, Avec l’ordinaire lumière, Fut vers le soir, Jeudi passé, Pour la dernière fois dansé ; Et comme il est très véritable Que j’aime fort le délectable, J’allai dans cet aimable Lieu, Le revoir, et lui dire adieu Et d’autant que par bon rencontre J’étais placé presque tout contre, Le considérant de plus près, J’en remarquai les beaux attraits, De la Reine, et de chaque Belle, Qui faisaient Entrée avec Elle.