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178. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Je garderai encore le silence sur les ornemens tant intérieurs qu’extérieurs qui peuvent l’embellir, mais je dirai avec les gens de goût que ce monument doit annoncer l’habitation des arts ; qu’il doit être simple, noble et élégant comme eux ; commode par la multitude des dégagemens et des sorties ; la partie sur la quelle j’oserai m’étendre, sera celle du théâtre, parce que mes connoissances m’y autorisent.

179. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

Vous voyez, Monsieur, que toutes les physionomies bizarres ne sont faites que pour choquer tous ceux qui sont amis du vrai, du simple et du naturel.

180. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Vous voyez, Monsieur, que toutes les physionomies bigarrées ne sont faites que pour choquer tous ceux qui sont amis du vrai, du simple & du naturel.

181. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Les amis de Stendhal qui ne connaissaient d’autres ballets que ceux de Gardel ou de Duport avec leurs intrigues amoureuses convenues, simples prétextes a pas de deux, a variations, à exercices de haute virtuosité, ne se le pouvaient figurer et Beyle enrageait du scepticisme de ses correspondants.

182. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

L’on a vu plusieurs Peintres qui ne pouvant donner par le moyen de la parole l’idée de certaines choses qu’il importoit de connoître, se sont servis de simples traits pour les dessiner, sans qu’on pût s’y méprendre.

183. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Atlas fit ensuite sortir dans le même ordre les autres parties de la terre, ce qui forma une division simple et naturelle du ballet, dont chacun des actes fut terminé par les hommages que toutes ces nations rendirent à la jeune princesse d’Angleterre, et par des présents magnifiques qu’elles lui firent. […] Outre les chefs-d’œuvre du théâtre français, qu’on vit se succéder sur un autre théâtre moins vaste d’une manière capable de rendre leurs beautés encore plus séduisantes, les opéras de la plus grande réputation firent revivre sur le théâtre du manège l’ancienne gloire de Quinault, créateur de ce beau genre, et de Lully, qui lui prêta tous ces embellissements nobles et simples qui annoncent le génie et la supériorité qu’il avait acquise sur tous les musiciens de son temps. […] Les colonnes, leurs bases, leurs chapiteaux, l’entablement, le fronton et le tympan enrichi de sculpture, représentaient les armes de France et d’Espagne ornées de festons : le tout en général était de relief, avec une simple couleur de pierre sur tous les bois et autres matières employées à la construction de ce palais.

184. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

La beauté des décors, et surtout ceux qui offrent aux regards la grande place de Naples et la vue du Vésuve, l’exactitude des costumes simples et tout empreints de rudesse nationale, la vivacité gracieuse des danses et des groupes, ne purent être admises sur la scène de l’Opéra que par le talent et la persévérance de M.

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