/ 176
170. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Une de ses femmes lui annonce l’arrivée de deux étrangers qui veulent se mettre à ses pieds et qui ont quelques secrets de la dernière importance à lui communiquer ; elle consent à les recevoir, et frappée d’un pressentiment heureux elle se livre à la douceur de penser qu’elle aura quelques nouvelles d’Oreste.

171. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Il a pensé sérieusement et développé en son style sans grâce ce que Théophile Gautier a dit, sur le ton léger du paradoxe, en faveur du personnage aux mains robustes, soutien de la fortune indécise des auteurs et des artistes.

172. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Le vieil hidalgo appelle ses valets pour qu’ils châtient l’insolent comme il le mérite ; mais, heureusement, le diable boiteux favorise la fuite de Cléofas, qui s’éloigne, comme vous pensez bien, un peu désillusionné sur le compte de la danseuse.

173. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Sachant qu’ils n’aiment point à lire, j’ai pensé qu’en leur offrant tous les principes de leur art dans une seule lettre, ce seroit satisfaire leur goût.

174. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

pensa-t-elle tout haut.

175. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

La pensée maîtresse de Fanny Elssler en Amérique, une pensée qui venait du cœur, fut l’œuvre qu’elle recommandait au public de New-York du haut de la scène, la fondation d’une caisse de pensions pour les artistes dramatiques.

176. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Les uns dérivent ce mot de l’hébreu אשרח, qui signifie feu de Dieu : les autres pensent qu’il vient du mot latin feriari : quelques savants ont écrit qu’il tirait son origine du grec ἑστία, qui veut dire foyer, etc. […] Les personnages qu’on voyait sur ces chariots étaient ceux qui allaient représenter un ballet devant le roi, et qui formaient par cet arrangement un premier spectacle pour le peuple, dont la foule ne saurait à la vérité être admise dans le palais, mais qui dans ces occasions doit toujours être comptée pour beaucoup plus qu’on ne pense. […] Il pensa qu’une belle fête ne pouvait être placée sur un terrain trop beau, et il choisit l’éperon du Pont-Neuf sur lequel la statue d’Henri IV est élevée, pour former le point de vue principal de son plan.

/ 176