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277. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Le calme renaît ; heureux de leur tendresse mutuelle, les fiancés se rapprochent, et leurs regards se parlent d’amour ; ils maudissent l’hallucination passagère qui les a déçus et enivrés ; ils sont tout entiers l’un à l’autre.

278. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145

Ce sont deux amans heureux : J’interprete leur silence ; Et j’entens parler leurs feux : Ils se suivent, ils s’évitent, Ils se joignent, ils se quittent, Feinte pleine de douceur ; L’un devant, l’autre s’arrête, S’applaudit de sa conquête, Ou rend gloire à son vainqueur, *   Chœurs des Danses.

279. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Pauline Duvernay montre de l’esprit dansant, de l’esprit parlé.

280. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Albrecht, qu’elle appellerait Loys, si l’on parlait dans ce pays fantastique des pirouettes et des jetés battus, est à coup sûr le galant qu’il lui faut ; il ne dit jamais : « Il fait trop chaud !

281. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Les ballerines se cabrèrent avec indignation… — Très bien, poursuivit le directeur tranquillement, mettons que je n’ai pas parlé.

282. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Bellaspada ne voit pas que ce soit un motif pour lui couper la gorge : au contraire, de pareilles intentions lui semblent on ne peut plus louables, et, sans tenir compte des signes désespérés de don Gil, il se sépare du jeune homme en lui promettant de parler en sa faveur à doña Dorotea.

283. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Les tems du brisé, dont nous avons parlé ou que nous avons démontrés plus haut, se comptent et se multiplient de la même manière que pour l’entrechat : leur exécution diffère en ce que l’entrechat s’exécute sous soi ou sur place, et que pour le brisé le corps se porte d’un côté ou d’un autre, suivant la position vers laquelle le brisé est dirigé.

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