Le calme renaît ; heureux de leur tendresse mutuelle, les fiancés se rapprochent, et leurs regards se parlent d’amour ; ils maudissent l’hallucination passagère qui les a déçus et enivrés ; ils sont tout entiers l’un à l’autre.
Ce sont deux amans heureux : J’interprete leur silence ; Et j’entens parler leurs feux : Ils se suivent, ils s’évitent, Ils se joignent, ils se quittent, Feinte pleine de douceur ; L’un devant, l’autre s’arrête, S’applaudit de sa conquête, Ou rend gloire à son vainqueur, * Chœurs des Danses.
Pauline Duvernay montre de l’esprit dansant, de l’esprit parlé.
Albrecht, qu’elle appellerait Loys, si l’on parlait dans ce pays fantastique des pirouettes et des jetés battus, est à coup sûr le galant qu’il lui faut ; il ne dit jamais : « Il fait trop chaud !
Les ballerines se cabrèrent avec indignation… — Très bien, poursuivit le directeur tranquillement, mettons que je n’ai pas parlé.
Bellaspada ne voit pas que ce soit un motif pour lui couper la gorge : au contraire, de pareilles intentions lui semblent on ne peut plus louables, et, sans tenir compte des signes désespérés de don Gil, il se sépare du jeune homme en lui promettant de parler en sa faveur à doña Dorotea.
Les tems du brisé, dont nous avons parlé ou que nous avons démontrés plus haut, se comptent et se multiplient de la même manière que pour l’entrechat : leur exécution diffère en ce que l’entrechat s’exécute sous soi ou sur place, et que pour le brisé le corps se porte d’un côté ou d’un autre, suivant la position vers laquelle le brisé est dirigé.