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143. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Si l’on eût chargé un célébré peintre de tracer l’histoire de la mort d’Agamemnon et de la vengeance d’Oreste, l’arrivée triomphale de ce Prince à Mycènes eût caracterisé son premier tableau.

144. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Le Traité de Mr. de Cahusac sur la Danse, est aussi nécessaire aux Danseurs que l’étude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’Histoire ; cependant il a été critiqué des Personnes de l’Art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui par de certaines raisons ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre.

145. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

. — La danseuse et Paquita, restées ensemble, se racontent mutuellement leur histoire. — Elles sont femmes, c’est bien naturel. — Rapprochées par un commun désir de vengeance, elles oublient leur rivalité, et forment contre la veuve une alliance offensive et défensive, à laquelle Asmodée vient généreusement promettre son appui.

146. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

L’histoire de cette liaison nous est racontée par Gentz lui-même dans de nombreuses lettres. […] Il invite son jeune confident, qui est poète à ses heures, à écrire quelques variations sur l’histoire, contée par André Chénier, d’un barbon amoureux ; il lui signale aussi, comme matière à développements, une anecdote qu’il cite en français : « Dénon, à l’âge de quatre-vingt-trois ans passés, se supposait de bonne fortune, non par fatuité, mais seulement pour prolonger les illusions du bel âge. » En souple diplomate autant qu’en ami indulgent, Prokesch-Osten endort les scrupules de Gentz ; il lui reproche de se vieillir ; il voit dans cette dépréciation de soi-même la coquetterie d’un homme qui promet moins, pour donner plus.

147. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Elle avait trouvé particulièrement choquant que l’on eût exploité, pour préparer le succès de Fanny Elssler, l’histoire de ses prétendues amours avec le duc de Reichstadt, et elle reprocha vertement à Jules Janin d’avoir recueilli et propagé ces racontars.

148. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Voir la lettre dans l’Histoire des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberch de Lovenjoul, Paris, 1887, t. 

149. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

J’ai recherché avec la patience d’un chartreux tous les documents qui pourraient jeter du jour sur cette ténébreuse question, et je dois à la vérité de l’histoire astronomique, de dire que c’est Nestor Roqueplan, le spirituel rédacteur des Nouvelles à la main, qui le premier a découvert un soir le passage de cet astre sous le disque d’un réverbère ; en même temps il remarquait le mouvement de rotation des Arthurs, satellites nombreux jusqu’ici oubliés par le bureau des longitudes.

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