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198. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71

L’éminente piété, les lumières et les immenses travaux de cet évêque dans la conduite de son diocèse, donnent à son témoignage une force et une autorité singulières.

199. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

Des signes extérieurs qui annoncent un sentiment, deviennent froids et languissans, s’ils ne sont subitement suivis d’autres signes indicatifs de quelques nouvelles passions qui lui succèdent ; encore est-il nécessaire de diviser l’action entre plusieurs personnages ; une même altération, des mêmes efforts des mêmes mouvemens, une agitation toujours continuelle fatigueroient et ennuieroient enfin et l’acteur et le spectateur ; il importe donc d’éviter les longueurs, si l’on veut laisser à l’expression la force qu’elle doit avoir, aux gestes leur énergie, à la physionomie son ton, aux yeux leur éloquence aux attitudes et aux positions leurs graces et leur verité.

200. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

S’il fallait, en parlant de l’opéra, écrire en même-temps la généalogie de la musique, ce travail serait certainement autant au-dessus de nos forces qu’au-dessus de la patience de nos lecteurs. […] Un seigneur en fut si transporté qu’il mit l’épée à la main, en jurant et blasphémant, et voulant à toute force s’aller battre.

201. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

A Vienne, comme elle jetait du haut d’un balcon des fleurs à la foule, ses admirateurs fanatisés se les arrachèrent entre eux avec force horions et bousculades.

202. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

L’une danse la grâce, l’autre la force, et toutes deux sont charmantes.

203. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Le peuple, qu’on croit faussement ne servir que de nombre, nos numerus sumus, etc. n’est pas moins cependant le vrai trésor des rois : il est, par son industrie et sa fidélité, cette mine féconde qui fournit sans cesse à leur magnificence ; la nécessité le ranime, l’habitude le soutient, et l’opiniâtreté de ses travaux devient la source intarissable de leurs forces, de leur pouvoir, de leur grandeur. […] Ces monstres vomissaient de leurs gueules et de leurs narines, des feux étincelants d’un volume prodigieux et de diverses couleurs : les uns traçaient en l’air des figures singulières ; les autres tombant comme épuisés dans les eaux, y reprenaient une nouvelle force, et y formaient des pyramides et des gerbes de feu, des soleils, etc. […] Ils joutèrent avec beaucoup d’adresse, de force et de résolution, et avec un zèle et une ardeur admirables. […] Six cents mariages faits et célébrés aux dépens de la ville, furent le témoignage de son amour pour l’état, de son ardeur pour l’accroissement de ses forces, de l’humanité tendre qui guide ses opérations dans l’administration des biens publics.

204. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Ils se complaisaient à des exercices de souplesse, de force, d’agilité dans lesquels l’esprit n’avait pas grande part.

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