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126. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Léon Pillet, il aurait ri de pitié. » Me Durmont avait beau jeu ; il répondit en lisant l’engagement signé par Fanny, où il était dit : « Le présent engagement commencera le 1er juin 1841 et finira le 31 mai 1845 ; il sera résiliable à la fin de la première année, à la volonté de l’administration et sans réciprocité. […] Il attendait les deux sœurs Elssler pour la fin de novembre 1842. […] A la fin du spectacle une députation de vieillards vint la remercier d’avoir renoncé, en leur faveur, à la totalité de la recette. […] Fanny Elssler avait obtenu à la fin de 1845 et au commencement de 1846 au Théâtre Argentina un succès qui l’avait décidée à prolonger son séjour dans la Ville Eternelle. […] A la fin de la saison, sa popularité était si grande que Lucile Grahn, qui lui avait pendant trois mois disputé la palme, jugea la place intenable et partit pour Londres, sans renouveler son engagement.

127. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58

La seconde, à la fin de Juillet, après les moissons ; & la troisiéme au mois de Septembre, qui étoit celles des Tabernacles qui duroit huit jours, avec des jeûnes très-austeres, en mémoire de la sortie d’Egypte & du passage de la mer Rouge ; c’est pourquoi on la célébroit à la campagne sous des feuillées, comme je l’ai déja dit. […] Martial Apôtre du Limousin, le peuple danser en rond dans le chœur de l’Eglise de ce Saint, & qu’à la fin de chaque Pseaume, au lieu de chanter Gloria Patri, ils chantoient le langage du pays, Saint Marcean pregas per nous, & nous épingaren per vous ; c’est-à-dire, S.

128. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »

Ces têtes légères, orgueilleuses et bruyantes, ces automates lourds et dédaigneux qui décident en maîtres dans la société, seront peut-être à la fin persuadés qu’un artiste, qu’un homme de lettres tiennent dans l’ordre des choses un rang supérieur à celui d’un intendant qui les a subjugués et qui les ruine, d’un vil complaisant qui les amuse et qui les joue, d’un caissier qui leur refuse leur argent pour le faire valoir à son profit, même d’un secrétaire qui fait mal leur besogne, et très adroitement sa fortune. […] Dans ces spectacles magnifiques, au contraire, que le zèle le plus ardent prépare, mais où le respect lie les mains, vous éprouvez une espèce de langueur à-peu-près vers le milieu de la représentation ; elle augmente par degrés jusqu’à la fin, et il est rare que l’ouvrage le plus fait pour émouvoir ne vous laisse pas dans un état tranquille.

129. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166

Celles-là donc avoient pour unique fin une affection véhémente de donner louange à Dieu avec le témoignage d’une joie sainte ; et celles-ci ne tendent au contraire qu’à prendre et à donner du plaisir. […] Bossuet (dans ses réflexions sur la comédie, tom. 7. de la collection de ses ouvrages, p. 630 à la fin, et 631.)

130. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37

Le fameux Bayle composait à la Haie son Dictionnaire immortel ; & vous, Monsieur, du bas de la montagne où vous êtes confiné, vous inondez l’Europe d’écrits célèbres, assaisonnés du sel de la fine plaisanterie, & d’une critique quelquefois trop mordante, dans lesquels l’impie, l’athée, le dévot, peuvent contenter leur goût. […] Cette Lettre est une espèce de Parodie de certaine Lettre qu’on trouve à la fin de la Tragédie intitulée : le Comte de Warwick.

131. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-

L’éducation touchait à sa fin : les économies aussi. » *** Aujourd’hui que ses appointements l’autorisent à se traiter fastueusement, Rosita Mauri se montre d’une sobriété en tous points espagnole : une tasse de chocolat prise au lit, le matin, à neuf heures ; à deux heures, en revenant de l’Opéra, un biscuit trempé dans un verre de malaga ; à six, le dîner de famille. […] Son pied fin, que la rampe lèche, Pique le sol comme une flèche, Et ses mains sont pleines de jeu, Elle est enfant, mais elle est fée, De neige vêtue et coiffée De clair de lune, comme il sied.

132. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

A la fin du bal, il est prié de mettre le comble à son obligeance en reprenant le châle, ce à quoi il obtempère avec enthousiasme.

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