. — Les fêtes à l’eau de Cologne. — Le soleil. — Transformation des Russes en gardes du commerce. — Pourquoi Markouski ne cause plus avec ses invités à partir de quatre heures. — Moi. — Mes succès dans les bals. — Mon envie d’entrer au théâtre. — Henri Delaage. — Arthur Delavigne. — Folichons et Folichonnettes. — Les Délassements-Comiques. […] Je mets de l’eau de Cologne partout, j’ai des gants et je succombe ! […] — Samedi prochain. — Les mardis et les samedis grandes fêtes à l’eau de Cologne… Vous avez vu comme c’était bien composé ; eh bien, c’est encore mieux que cela le samedi… Je ne reçois que des princes, des barons et des journalistes.
Libre alors de la contrainte à laquelle ses yeux avaient été assujettis ; il appela la lumière et l’engagea par les plus tendres chants à se répandre sur les Astres, le Ciel, l’Air, la Terre et l’Eau, afin qu’en leur donnant mille beautés différentes, par la variété des couleurs, il lui fut aisé de choisir la plus agréable.
Là, nombreux, rangés le long des murs, des seaux remplis d’eau lui apparurent. […] Un garçon apparut, qui lui apporta un broc d’eau glacée. […] Le sommelier expliqua à Mortier qu’une sonnerie réclamait de l’eau glacée et trois sonneries, des boissons. […] Et le sommelier fit ce qu’avait fait, avant lui, le porteur d’eau glacée : flegmatique, il s’en fut. […] Et quand on songe que pour pousser les hideux mélanges qu’ils fabriquent, ils ingurgitent de l’eau glacée et mâchonnent sans arrêt des olives comme des gens civilisés mangent du pain !
De cet entonnoir s’élevoit à la hauteur de douze pieds un jet d’eau, et du pourtour de cet entonnoir sortoient huit autres jets, qui en tombant dans les eaux brillantes du bassin formoient une espèce de cloche. […] Ils étoient composés de gaze argentée, et l’eau étoit imitée de manière à faire illusion. […] Au milieu de tant d’occupations, son âme paroissoit calme et tranquille ; mais elle ne l’étoit, si j’ose le dire, qu’à la superficie ; semblable à ces eaux brillantes et limpides qui dans les beaux jours d’été, paroissent fixes et immobiles, mais qui frissonnent lorsqu’une feuille légère tombe sur leur surface, et qui s’agitent au moindre soufle du zéphir ; telle étoit, l’âme de Garrick.
Le Comte de Jouy et le Bâtard de Foix y périrent, le jeune Nantouillet ne se sauva qu’en se plongeant dans une cuve pleine d’eau, qu’un heureux hasard lui fit rencontrer.
La Grèce est pour jamais privée de ses eaux fécondes, il s’est frayé une Route nouvelle vers les riches campagnes de la Sicile, qu’Aréthuse vient d’embellir.
Le troisième jour, aux flambeaux, Un grand Ballet, et des plus beaux, Dont était, en propre Personne, Notre digne Porte-Couronne, Avec maint Prince et Grand Seigneur, Et d’autres Gens, qui, par honneur, Comme étant Personnes de marque, Sont dans les Plaisirs du Monarque, Fut admirablement dansé ; Et quand ce plaisir fut passé, On finit toutes ces délices Par des Feux, par des artifices Allumés sur de claires eaux, Si radieux et si nouveaux, Que si les bruits sont véritables On n’en vit jamais de semblables.