Le directeur autorise verbalement l’actrice à dire à tous les Arthurs qu’elle rencontrera : Eh bien, je suis engagée, sans votre secours, et j’ai mille écus d’appointements… et des feux ; par exemple pas de congé, la direction tient trop à moi. […] La Lorette qui a vécu dans l’intimité de jeunes vaudevillistes les trouve directeurs, elle se place sous leur aile et se fait modestement ouvreuse de loges.
Il s’emporte contre « le plus méprisable des coquins », un directeur de théâtre, semblerait-il, qui faisait des misères à Fanny. […] Lorsqu’à son arrivée à Paris les journaux célébrèrent en elle la fée qui avait charmé la captivité du prisonnier de Schœnbrunn, le Dr Véron, directeur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir.
On feroit encore tous les quinze jours en présence des administrateurs, ou des directeurs, l’essai des pompes, ainsi que l’inspection des réservoirs dont on renouvelleroit l’eau au moins tous les mois.
Ajoutez à cela les désagrémens que tout auteur essuie des directeurs de l’opéra.
Ajoutez à cela les désagréments que tout Auteur essuie des Directeurs de l’Opéra.
Il est administré par des directeurs élus par les particuliers associés, et c’est un des meilleurs qu’il y ait en province.
Beauchamps, directeur de l’Académie royale de Danse, compositeur et sur-intendant des ballets du Roi Louis xiv, en 1661, et maître des ballets de l’Académie royale de Musique, en 1671 : mort en 1705.