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97. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Il mourut trente-deux ans plus tard avec le nom de la « dame aux yeux de violettes » sur les lèvres.

98. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

Et, comme il regardait par la porte, restée ouverte : — C’est bien une dame, ajouta-t-il, et pas déguisée du tout.

99. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Betty Paoli avait été la dame de compagnie de la princesse Marie-Anne de Schwarzenberg, femme du célèbre général. […] Cette dame a quelque chose de Ninon de Lenclos ; elle est déjà grand’mère, mais toujours encore svelte et gracieuse.

100. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

Machine [Article de Mallet] Les personnages d’ailleurs du chant et de la danse en étaient presque toujours remplis par les souverains eux-mêmes, les seigneurs et les dames les plus aimables de leur cour ; et souvent à tout ce qu’on vient d’expliquer, les princes qui donnaient ces sortes de fêtes ajoutaient des présents magnifiques pour toutes les personnes qui y représentaient des rôles ; ces présents étaient donnés d’une manière d’autant plus galante, qu’ils paraissaient faire partie de l’action du ballet.

101. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

*** Voici la première danseuse qui ait paru sur la scène de l’Opéra, où, avant elle, quelques dames, — madame la Dauphine, la princesse de Conti, mademoiselle de Nantes, — avaient seules figuré dans les ballets de la cour : Mademoiselle Lafontaine dont le début, le 16 mai 1621 dans le Triomphe de l’Amour, fut plus qu’un événement, — une révolution presque.

102. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111

Au mariage du Roi en 1659, il dansa avec tous les Seigneurs & Dames de la Cour, au Balet des Amours d’Hercule : le Cardinal Mazarin fit venir exprès d’Italie l’Auteur Italien, pour le faire représenter avec tous ses agrémens, de même qu’il avoit été représenté à Venise.

103. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Cela ne changea qu’au ballet du Triomphe de l’Amour, représenté à Saint-Germain-en-Laye ; on y vit danser monseigneur le Dauphin et madame la Dauphine, Mademoiselle, madame la princesse de Conti, et autres princes et princesses, seigneurs et dames de la cour. […] M. le duc de Choiseul, président de la commission de surveillance attachée à l’Opéra, voyant les dépenses que dans Robert-le-Diable on avait fait pour la toilette des dames, s’écriait : « Autrefois, cependant, c’était nous qui payions cela ! 

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