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146. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

C’est avec peine qu’ils se dessinent agréablement : plus les parties ont d’étendue, plus il est difficile de les arrondir, et de les développer avec grace, tout est séduisant, tout est charmant dans les petits enfans ; leurs gestes, leurs attitudes sont pleins de graces ; les contours en sont admirables.

147. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Tout est séduisant, tout est charmant dans les petits enfants !

148. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Massine a repris très inconsciemment la voie où, le premier, s’était engagé Viganò et nous a donné quelques charmantes comédies muettes, mais il lui manque le don suprême du chorégraphe milanais : l’art de disposer et faire mouvoir les masses.

149. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

« O vertu, qui malgré les difficultés que vous présentez aux faibles mortels, êtes l’objet charmant de leurs recherches!

150. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

et cependant elle revient toujours à la Sylphide, ce ballet charmant où sa fantaisie se donne libre cours. » Et c’est dans ce rôle de la Sylphide qu’une Fanny Elssler osa se mesurer avec elle !

151. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

J’en ai connu un qui jouait, avec le pilon dans le mortier, Portrait charmant et Fleuve du Tage.

152. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

« Je pleurais, dit-il, sur le mont Apennin la mort de la tendre Eurydice ; j’ai appris l’union de deux amans dignes de vivre l’un pour l’autre, et j’ai senti pour la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de joie ; mes chants ont changé avec les sentiments de mon cœur ; une foule d’oiseaux a volé pour m’entendre, je les offre à la plus belle princesse de la terre, puisque la charmante Eurydice n’est plus ». […] L’entrée de ce bois charmant se trouva tout-à-coup éclairée par une illumination ingénieuse, et dont les lumières qui la formaient, étaient cachées par des transparents de feuillées.

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