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140. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Mais pourquoi s’est-elle arrêtée subitement ?

141. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Son culte allait si loin qu’un jour, ne se croyant pas vu, pendant qu’il mettait de l’ordre dans l’appartement, il s’arrêta, le brûle-parfum à la main, devant le portrait d’Haydn et l’encensa, comme s’il eût été devant un autel2. » Haydn répondit à tant de dévouement par une affection sincère et le paragraphe 42 de son testament stipula en faveur du « fidèle et probe serviteur Jean Elssler » un legs de six mille florins.

142. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Séchan, Feuchère et Cie fut arrêté au chiffre de 14 935 francs, celui des travaux de peinture faits par M.

143. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

L’opéra brûlé deux fois en dix neuf ans, et dans ce même espace, les théâtres de Vienne, de Milan, de Vénise, de Stockholm, d’Amsterdam, de Lyon, de Mantoue, de Varsovie, des Boulvards, de l’Odéon etc. consumés tous avec une telle rapidité, qu’il fut impossible d’arrêter les progrès du feu : tant de catastrophes cruelles sont bien faites pour fixer l’attention d’un citoyen.

144. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Madame la Dauphine s’arrêta auprès de cette colonne, tant pour la considérer que pour lire les quatre inscriptions composées en quatre différentes langues. […] Le Roi ayant blessé un sanglier d’un dard qu’il lui lança, le comte de Saxe l’arracha d’une main du corps de l’animal, que sa blessure rendait plus redoutable, tandis que de l’autre main il en arrêta la fureur et les efforts. […] Le sanglier furieux s’élance sur lui ; dans le moment l’intrépide chasseur lui enfonce son couteau de chasse au milieu du front, l’arrête ainsi et le renverse. […] Le Roi suivi de sa cour, entrant dans ce lieu enchanté, s’arrêta d’abord au théâtre de la comédie italienne, où Arlequin, Pantalon et Silvia ne firent pas des efforts inutiles pour divertir Sa Majesté : elle se rendit de-là aux marionnettes, et ensuite aux jeux ; s’y amusa quelque temps, et joua au hoca et au biribi.

145. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Pour le moment, elle ne s’arrêtait pas à Paris.

146. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Jadis nos danseurs les plus célèbres, au milieu des Danses les plus graves, s’arrêtaient en équilibre sur la pointe d’un pied, pendant dix à douze mesures ; ils pouvaient prendre pour patron S.

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