Je m’étais flatté d’avoir eu seul cette idée de l’acclamer, parce que, les jours précédents, on s’était contenté de l’applaudir. […] Plus tard vinrent les premiers sujets de l’opéra et du ballet, que nous applaudîmes, en essayant de distinguer parmi eux le véritable objet de notre ovation. […] Je fus très applaudie, et le lendemain j’eus à moi un costume de gaze à paillettes et des pantoufles de satin blanc. […] J’avais pris mon élan d’une manière si heureuse, que la salle applaudit avec transport pour la première fois.
Mme Véra Tréfilova, que Paris a applaudie hier, pour la première fois, est une danseuse parfaite.
Alexandre frappé du mérite du peintre et de la manière agréable dont il lui présente son ouvrage1 applaudit à son génie. […] Alexandre, prévenu par Roxane, entre sans bruit ; il approche ; à la vue du groupe qui lui semble céleste ; il applaudit à l’imagination brillante de l’artiste ; il voit qu’il a été trompé, et il sort pour ne point distraire Apelles de son travail.
Les Déesses satisfaites des décrets du maître des Dieux, applaudissent au bonheur des deux époux. Les Divinités de la terre, des eaux et de l’air se réunissent aux Jeux, aux Ris et aux Plaisirs ; l’Amour, Vénus et les Graces embellissent cette fête ; Thétis et Pélée y expriment leur félicité ; l’Olympe applaudit à ces jeux et cette première partie de ce ballet, variée de pas d’expression et de caractère, se termine par un grouppe général qui témoigne aux Divinités célestes leur respect et leur reconnoissance.
La multitude peut-être applaudira-t-elle le Danseur ; parce qu’elle ne juge que par l’impression du moment.
Il y avait donc, dans le pas des Lutteurs des Fêtes Grecques et Romaines que le Public a si constamment applaudi, une faute de composition bien importante, puisqu’il était sans dénouement.
Pour ce bref passage, j’applaudis l’adversaire.