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32. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18

Voici encore une nouvelle preuve de notre talent musical à une époque plus rapprochée.

33. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147

Le vieux marquis est un ancien beau de 1830, qui a conservé de son époque un parfum de bonne compagnie qui n’est pas désagréable, il appelle les femmes « belle dame », les compare aux roses du printemps et leur offre des bonbons contre la toux.

34. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21

A partir de cette époque je récitai constamment des poésies partout où je me trouvais.

35. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140

Cette fête étoit allégorique, et elle fera époque dans notre histoire.

36. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Le ballet, qui fut sous l’Empire surtout un divertissement de danse accolé à un sujet quelconque de mythologie scolaire ou bien, comme en Italie, un drame passionnel mimé en mesure, se vit ainsi appelé à exprimer les aspirations d’une époque, sa pensée philosophique, son besoin de beauté. […] Auguste Vestris qui assiste en pédant maussade et baroque au renouveau romantique avait bien tourné de son temps d’innombrables pirouettes « à la hauteur », son rival victorieux Duport l’avait bien éclipsé par l’élasticité de ses bonds prodigieux : ces triomphes restaient réservés aux danseurs ; jamais une Bigottini, une Fanny Bias, étoiles de l’époque impériale, ne purent leur disputer le succès. […] C’est Taglioni qui inaugure l’époque brillante et néfaste des virtuoses.

37. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26

Je gagnais à cette époque quelque chose comme dix sous par jour.

38. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »

Époque du plus haut point de gloire de l’Art Les Rois ont toujours sous leur main un moyen assuré de distraire les regards de la multitude des opérations du gouvernement ; mais il n’est point de Souverain, qui ait su employer ce moyen d’une manière plus efficace qu’Auguste, ni dans des circonstances aussi délicates.

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