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144. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63

Le danseur qui serait placé de cette manière, répugnerait au bon goût ; et ses positions, ses attitudes, devenues grotesques et caricatures, seraient un objet de ridicule pour le dessinateur.

145. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123

Son temple aussi est merveilleux, si merveilleux que cet accessoire ne tarde pas à devenir le principal dans le paysage.

146. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »

Pour que Anna Johnsson devienne une pimpante montagnarde d’Écosse ?

147. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61

Tout cela tient au goût, à l’esprit et à un amour-propre bien entendu, qui dit perpétuellement à l’artiste, sois original, deviens modèle, et n’imite que la nature.

148. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

Hanako était seulement curieuse de ce qu’elle allait voir, puisque tout commerce extérieur lui devenait impossible de ce fait qu’elle ne parlait que japonais. […] Et dans ce théâtre des Batignolles où j’ai vu jadis les mélodrames les plus noirs faire frémir les publics populaires, dans ce théâtre devenu élégant, luxueux, avec sa décoration claire et quasi modern-style, au théâtre des Arts, elle a transporté ses rampes, ses lanternes électriques, toute cette féerie des yeux qu’elle inventa, perfectionna, qui fait d’elle une personnalité unique, une créatrice, une révolutionnaire en son genre, une révolutionnaire de l’Art.

149. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201

Et que deviendra en beaucoup d’occasions l’observation de la loi de Dieu, si la coutume (qui est très-souvent contraire) est une règle de conduite ? […] Peut-être que si tous ne reçoivent pas bien ce que je me crois obligé de dire contre ces abus, au moins quelques-uns, quoiqu’en petit nombre, en profiteront ; et qu’ils aimeront mieux être raillés avec nous, que de se moquer et de rire de nous, mais d’un ris digne de larmes et des plus grands supplices… Je souffrirai donc de devenir l’objet des railleries de plusieurs personnes, pourvu que mon discours puisse porter quelque fruit ; et en effet, ne me rendrois-je pas moi-même ridicule et répréhensible, si, pendant que je vous exhorte à ne vous point mettre en peine de la gloire qui vient des hommes, j’étois moi-même attaqué de la maladie qui la fait rechercher, comme on la recherche quand on craint leurs railleries et leurs mépris ? 

150. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre cinquième. Positions principales et leurs dérivés ; » pp. 64-70

.) ; car sans cela vous n’auriez aucune expression, et votre position ou attitude deviendrait fade.

151. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214

Que deviennent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ?

152. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »

Son torse devient un volume plastique.

153. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101

Allard étoit devenue très-grasse, sans rien perdre de sa vigueur, de son brillant, de sa prestesse, ni de la gaité franche qu’exige le genre villageois.

154. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249

De plus, celui-ci dut croire que son interlocuteur était devenu fou. […] Même il devenait plus courtois dans ses propos à l’égard de l’Amérique et des Américains.

155. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144

Le port de bras devant être aussi varié que les différents sentimens que la danse peut exprimer ; les règles reçues deviennent presqu’inutiles ; il faudroit les enfreindre et s’en écarter à chaque instant, ou s’opposer, en les suivant exactement, aux mouvemens de l’âme, qui ne peuvent se limiter par un nombre déterminé de gestes. […] elles perdent leur nom, leurs charmes et leur effet ; ce n’est plus que de la minauderie dont la fadeur devient insupportable.

156. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289

Le port des bras devant être aussi varié que les différentes passions que la Danse peut exprimer, les regles reçues deviennent presque inutiles ; il faudroit les enfreindre & s’en écarter à chaque instant, ou s’opposer en les suivant exactement aux mouvements de l’ame, qui ne peuvent se limiter par un nombre déterminé de gestes. […] ce n’est plus que de la minauderie dont la fadeur devient insoutenable.

157. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »

* * * De huit jours en huit jours, les Vendredis de la Danse à la Comédie Montaigne commencent à devenir une habitude assez douce.

158. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23

Non ; pour les jeunes personnes qui aspirent à devenir les madones de l’art… chorégraphique, il s’agit simplement de parvenir à ce degré d’élasticité — de muscles, de mœurs et de langage — dont le docteur Véron nous fournit l’exemple suivant dans le troisième volume de ses Mémoires : « Je m’aperçus que l’une de mes ballerines, quoique dans une position intéressante, n’en continuait pas moins son service, fort pénible à cette époque.

159. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

Carlotta Grisi (c’est d’elle qu’il s’agit), devint son élève, puis sa femme. […] Nathalie avait une sœur, Louise, devenue légendaire à cause de sa maigreur. […] Ainsi la fille de Mme Duvernay devint, en justes noces, Mme Lyne-Stepsens.

160. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Le pays latin est appelé à devenir une contrefaçon des steppes de Pologne, une parodie des landes de Gascogne, le bassin du Luxembourg sera frère du bassin d’Arcachon, la rue Saint-Jacques obliquera sur Montmartre, alors la grisette se fera Lorette, c’est ce qu’elle a de mieux à faire. […] Le cachet à devises est devenu aussi un besoin général. […] La Lorette devenue riche envoie 20 francs au préfet de son département pour l’extinction de la mendicité, et pare l’église de son village. […] Elle se rappelle le nom de vingt Arthurs qui sont devenus préfets, procureurs du roi, députés ou ministres. […] La Lorette qui retrouve un étudiant passé à l’état de notaire se fait commanditer et devient marchande à la toilette, ou achète un fonds de table d’hôte et le notaire vient dîner en remboursement de ses avances.

161. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Chenecerf, ou quelque chose approchant, et qui serait certainement devenu l’un de nos compositeurs les plus populaires, si jamais personne avait pu prononcer son nom. […] La Sylphide est devenue la personnification de mademoiselle Taglioni. […] Ajoutez à ces dons précieux des bras ronds et potelés, — qualité rare chez une danseuse, — une taille souple et bien assise sur les hanches, des jambes de Diane Chasseresse ; puis, sur tout cela, l’attrait qui ne s’explique pas et qu’on ne peut exprimer, les Cupidons et les Vénus, — Veneres Cupidinesque, comme disaient les anciens, — et vous posséderez le crayon incolore et affaibli de la ballerine qui allait devenir l’idole des habitués de l’orchestre et du parterre, comme la Sylphide devait rester longtemps encore celle des grandes dames des loges et du balcon. […] Dans certains cas, la géométrie peut avoir raison ; mais de l’Opéra à un ballerin disgracié, la plume de M. de Boigne soutient que c’est la ligne courbe qui devient la voie la moins longue.

162. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119

VI J’avoue que je suis un peu de l’avis d’Oscar, le crois que Sari les magnétise ; quand il se présente, quand il parle, la plus indomptée baisse la tête, devient douce comme un agneau et fait de la morale aux autres.

163. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -

Un semblable motif fit abolir sous l’empire de Tibere, les Saturnales, instituées en l’honneur de Saturne, parce que les danses qui s’y étoient introduites étoient devenues trop licentieuses ; & l’on bannit de Rome tous les Maîtres de Danse, pour avoir composé des Danses Nuptiales, qui exprimoient toutes les libertez de l’amour : ce qui a fait dire à Cornelius-Nepos que dès le tems d’Auguste les Romains regardoient déja la Danse comme un art qui peut contribuer au deréglement des mœurs, en quoi ils ne s’accordoient pas, dit il, avec les Grecs, qui l’estimoient nécessaire pour la politesse de la vie civile & l’exercice du corps.

164. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233

Elle veut lui parler ; Belton devient furieux ; il est prêt à la maltraiter.

165. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60

que deviendrai-je, & quelle sensation n’éprouverai-je pas à la vue d’une représentation encore plus vraie, d’une action rendue par mes semblables !

166. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37

Ma surprise est redoublée par la vive persuasion où je suis que vous avez tous les talens nécessaires pour devenir un grand compositeur de Pantomimes  ; seul honneur qui manque à votre gloire littéraire, & seul capable de satisfaire cette vaste ambition, qui vous porte à écrire tant d’ouvrages si différens les uns des autres. […] Par quelle vicissitude la plupart d’entr’eux ont-ils dégénérés jusqu’à devenir méconnaissables !

167. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIII. » pp. 181-196

Voilà, Monsieur, ce qui me paroitroit devoir être substitué à la Chorégraphie de nos jours, à cet art aujourd’hui si compliqué, que les yeux et l’esprit sy perdent ; car ce qui n’étoit que le rudiment de la danse, en est devenu insensiblement le Grimoire. […] Oui, Monsieur, la Chorégraphie amortit l’imagination ; elle affoiblit, elle eteint le goût du compositeur qui en fait usage ; il est lourd et froid, il est incapable d’invention ; de créateur qu’il étoit, ou qu’il auroit été, il devient ou il n’est plus qu’un plagiaire ; il ne produit rien de neuf et tout son mérite se borne à défigurer les productions des autres.

168. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIV. » pp. 134-149

La nature sage et prudente dans ses opérations, ne pouvoit donner à cette partie autant de jeu qu’à celle du bras : Trop de mobilité se soi oit opposée à la solidité que les colonnes d’un édifice doivent avoir, pour en supporter et en maintenir la charpente et la masse supérieure ; dèslors il falloit des cavités plus profondes des ligamens plus forts et des muscles plus multipliés pour en modifier les mouvemens, pour résister aux ébranlemens divers, et pour supporter le poids du corps qui devient considérable, lorsqu’après s’être élancé, il retombe. […] Au reste, tout ceci n’est qu’une esquisse qui devient suffisante à l’art.

169. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200

Le nom du poète, celui du peintre, du sculpteur, du graveur et du musicien parcourent avec leurs chefs-d’oeuvre l’immensité des siècles, et deviennent immortels comme eux. […] Un instant après il devient plus ivre ; il perd son chapeau, abandonne ses étriers, il galope, frappe son cheval, le pique de ses éperons, casse son fouet, perd ses gands, et arrive aux murs de son parc ; il n’en trouve plus la porte, il veut absolument que son coursier dont il déchire la bouche, entre par la muraille ; l’animal se débat, se cabre, et jette mon vilain à terre. » Après cet exposé, Garrick commença ; il mit successivement dans cette scène, toutes les gradations dont elle étoit susceptible ; il la rendit avec tant de vérité, que lorsqu’il tomba de cheval Prévillo poussa un cri d’effroi ; sa crainte augmenta encore lorsqu’il vit que son ami ne répondait à aucune de ses questions.

170. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIII. » pp. 362-395

Voilà, Monsieur, ce qui me paroîtroit devoir être substitué à la chorégraphie de nos jours, à cet Art aujourd’hui si compliqué que les yeux & l’esprit s’y perdent ; car ce qui n’étoit que le rudiment de la Danse, en est devenu insensiblement le grimoire. […] Oui, Monsieur, la Chorégraphie amortit le génie ; elle éteint, elle affoiblit le goût du Compositeur qui en fait usage ; Il est lourd & pesant ; il est incapable d’invention ; de créateur qu’il étoit ou qu’il auroit été, il devient ou il n’est plus qu’un plagiaire ; son imagination se tait ; il ne produit rien de neuf, & tout son mérite se borne à défigurer les productions des autres.

171. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87

Il faut être très en dehors pour devenir un bon Pirouetteur (qu’on nous permette ces expressions d’école).

172. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75

XIII A un moment donné, et sans savoir pourquoi, il faut être sombre, mélancolique et fatal, puis soudainement devenir fou, rageur et délirant.

173. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

On reçoit, mais on ne donne plus, c’est devenu mauvais genre.

174. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133

Je me décidai enfin à croire, pour complaire à mon hôtesse, que la collection était si colossale que tout devenait insignifiant auprès d’elle.

175. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-

Le fracas des applaudissements des spectateurs devint alors, en pleine nuit, quelque chose de fantastique.

176. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

Et bien cet homme fut à tel point transporté par le « miracle » duncanien qu’il déclara son art être « le moyen pour nous tous de devenir beaux ».

177. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16

Ne dansant point, il devient étranger au ballet ; son expression dailleurs étant dépourvue des graces que la danse prête aux gestes et aux attitudes, paroît moins animée, moins chaude et conséquemment moins intéressante.

178. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108

Dans cet instant le grouppe devient général.

179. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120

Renaud, qui arrive, devient aussi la victime des emportemens d’Alphonse.

180. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214

Le tombeau s’embrase de nouveau ; l’inscription devient plus ardente ; l’ombre menaçante du héros s’élève toute entière au dessus de la tombe ; elle tient un poignard à la main ; elle le jette à son fils, en lui ordonnant d’égorger Polixène ; ce héros recule d’horreur ; il frémit d’un ordre aussi barbare ; et sa main et son cœur se refusent à l’obéissance ; Polixène ramasse ce poignard ; elle jette un regard fier et terrible sur l’ombre d’Achille.

181. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29

Ne dansant point, il devient étranger au Ballet ; son expression d’ailleurs étant dépourvue des graces que la Danse prête aux gestes & aux attitudes, paroît moins animée, moins chaude, & conséquemment moins intéressante ; il est permis aux grands talents d’innover, de sortir des regles ordinaires, & de se frayer des routes nouvelles, lors qu’elles peuvent conduire à la perfection de leur Art.

182. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Ce même compositeur, devenu maître de la musique de Saint-Marc à Venise, y introduisit cette manière de représentations qui depuis sont devenues si célèbres par la magnificence des théâtres et des habits, la délicatesse des voix, l’harmonie des concerts et les savantes compositions de Montevre, de Soriano, de Giovanelli, de Teofilo et de plusieurs autres grands maîtres. […] Parmi eux on citait Cambert, Colasse et les trois Lulli, à la tête desquels marche le célèbre Jean-Baptiste, Élisabeth de la Guerre, Campra, Matho qui devint fou, Rameau, Mondonville, d’Auvergne et Rousseau. […] L’ancien magasin de l’Opéra et l’Académie de Danse, dont nous avons parlé, avaient jeté en quelque sorte les premiers élémens de cet établissement, qui devint lui-même le berceau de notre Conservatoire actuel, auquel d’injustes reproches n’ont point empêché qu’une éclatante justice ne fût rendue. […] Des professeurs tels que les Habeneck, les Lafont, les Baillot, les Chérubini, les Tulou, les Norblin, les Baer et madame Cinti-Damoreau3, l’orchestre de l’Opéra si habilement conduit par un maître qui n’a quitté la direction de ce théâtre que pour devenir le premier chef d’orchestre de l’Europe, et les concerts du Conservatoire, font l’admiration de l’étranger. […] L’Europe tout entière est tributaire des richesses de notre Opéra ; son ballet est devenu cosmopolite.

183. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

L’Amour, pour se venger du mal qu’elle vient de lui faire et pour servir en même temps Daphnis, tire malicieusement une fléche de son carquois : Philis qui commence à devenir curieuse, veut tout apprendre se saisît de la fléche ; elle en examine la forme et voulant indiscrètement savoir si elle est aigue, l’enfant malin, qui la guette, lui pousse le bras et la lui fait entrer dans le bout du doigt. […] Daphnis enhardi par l’Amour ne se rebute point ; Philis cède ; sa fierté se change en pitié et bientôt cette pitié devient tendresse : ses beaux yeux, qui n’étoient ouverts que pour se fixer avec indifférence sur les objets tranquilles de la nature, s’arrêtent avec complaisance sur le Berger, dont les charmes lui paroissent nouveaux.

184. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231

Elle promettait de devenir quelqu’un : elle a, d’ailleurs, tenu.

185. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

A cette heure où, avec des gestes de panathénée, Isadora Duncan se meut, libre et forte, gracieuse et variée, les jolies ballerines de Milan, de Paris, de Saint-Pétersbourg, de Berlin et de Londres me font l’effet de moniteurs de l’École de gymnastique militaire de Joinville, s’exerçant en robes de gaze, à devenir des almées !

186. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46

Il est bien singulier, que l’on ait comme ignoré jusqu’à présent que le genre le plus propre à l’expression de la Danse est le genre tragique ; il fournit de grands Tableaux, des situations nobles & des coups de théatre heureux ; d’ailleurs, les passions étant plus fortes & plus décidées dans les Héros que dans les Hommes ordinaires, l’imitation en devient plus facile, & l’action du Pantomime plus chaude, plus vraie & plus intelligible.

187. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

La traversée de la Manche devenait une nouvelle expédition des Argonautes. […] Après avoir dit l’impression de joyeux étonnement produite par sa beauté, il continuait en ces termes : « Le plaisir est devenu de l’enthousiasme lorsque Mlle Fanny a dansé de cette danse qui est la sienne et ne ressemble pas plus qu’elle ne veut leur nuire à celles qui caractérisent le talent de chacune de ses nouvelles rivales. […] Quoiqu’elle restât dévouée à son fondateur devenu directeur de l’Opéra, qui ne pouvait approuver des attaques contre Fanny Elssler, elle exalta la Sylphide de la manière la plus blessante pour la pauvre fée Alcine.

188. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51

Pour éviter ces grands inconvénients à ceux qui désirent devenir des danseurs, on ne saurait trop examiner leur structure et leurs formes, avant de les destiner à l’art de la danse, dans lequel on ne peut réussir sans les dons de la nature.

189. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166

Je me suis privée du plaisir de devenir auteur dramatique à cause de lui.

190. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »

Platon, le divin Platon mérita leur blâme, pour avoir refusé de danser à un Bal que donnait un Roi de Syracuse ; et le sévère Caton, qui avait négligé de s’instruire, dans les premiers ans de sa vie, d’un art qui était devenu chez les Romains un objet sérieux, crut devoir se livrer à cinquante-neuf ans, comme le bon M.

191. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »

À Rome, elle devint partie de l’Art dramatique, et marcha alors d’un pas égal avec la Poésie, l’Éloquence et la Musique.

192. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64

Lorsque les danseurs animés par le sentiment, se transformeront sous mille formes différentes avec les traits variés des passions ; lorsqu’ils seront des Prothée, et que leur physionomie, et leurs regards traceront tous les mouvemens de leur âme ; lorsque leurs bras sortiront de ce chemin étroit que l’école leur a prescrit, et que, parcourant avec autant de grace que de vérité un espace plus considérable, ils décriront par des positions justes les mouvemens successifs des passions ; Lorsqu’enfin ils associeront l’esprit et le génie à leur art, ils se distingueront ; les récits dès lors deviendront inutiles ; tout parlera, chaque mouvement sera expressif, chaque attitude peindra une situation, chaque geste dévoilera une intention, chaque regard annoncera un nouveau sentiment ; tout sera séduisant, parceque tout sera vrai, et que l’imitation sera prise dans la nature.

193. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168

Ses douleurs s’accroissent ; ses entrailles se déchirent ; il se livre à toute sa rage ; il déracine les arbres ; le malheureux Lycas devient la victime de sa fureur.

194. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189

Alexandre ayant ordonné à Apelles de faire le portrait d’une de ses favorites nommée Campaspe ; Apelles frappé de la beauté de son modèle, en devient amoureux.

195. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189

Elle était devenue Italienne en Allemagne, — à la cour de Brunsvick, dit-on.

196. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

Devenue jolie à force de volonté.

197. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

il devient froid ; ses moules sont de glace ; ses masques sont sans caractère et sans vie ; il ne peut saisir les finesses des traits, et toutes les nuances imperceptibles, qui grouppant, pour ainsi dire, la physionomie, lui prêtent mille formes différentes, quel est le modeleur qui puisse entreprendre de rendre les passions dans toutes leurs dégradations ? […] Pauvres, riches, tout le monde y étoit admis : il falloit donc de vastes enceintes pour contenir un nombre infini de spectateurs qui n’auroient point trouvé le plaisir qu’ils venoient chercher, si l’on n’eût eu recours à des masques énormes, à un ventre, à des mollets postiches et à des cothurnes fort exhaussés Mais aujourd’hui que nos salles sont resserrées, qu’elles ont peu d’étendue, que la porte est fermée à quiconque ne paye pas, on n’a pas besoin de suppléer aux gradations du lointain : L’acteur et le danseur doivent paroître sur la scène dans leurs proportions naturelles ; le masque leur devient étranger, il ne fait que cacher les mouvemens de leur âme ; il est un obstacle aux progrès et à la perfection de leur art. […] Dioméde dit bien que ce fût un Roscius Gallus qui le premier s’en servit pour cacher un défaut qu’il avoit dans les yeux ; mais il ne me dit pas dans quel tems ce Roscius vivoit : ce qui n’avoit été employé dabord que pour dérober une difformité, devint par la suite absolument nécessaire, vû l’immensité des théatres ; et l’on fit, ainsi qu’à Athènes, des masques énormes.

198. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

il devient froid, ses moules sont de glace, ses masques sont sans caractere & sans vie ; il ne peut saisir les finesses des traits & toutes les nuances imperceptibles, qui grouppant, pour ainsi dire, la physionomie lui prêtent mille formes différentes. […] Mais aujourd’hui que nos Salles sont resserrées ; qu’elles ont peu d’étendue ; que la porte est fermée à quiconque ne paie pas ; on n’a pas besoin de suppléer aux gradations du lointain ; l’Acteur ainsi que le Danseur doivent paroître sur la Scene dans leurs proportions naturelles ; le masque leur devient étranger ; il ne fait que cacher les mouvements de leur ame ; il est un obstacle aux progrès & à la perfection de l’Art. […] Dioméde dit bien que ce fut un Roscius Gallus, qui le premier s’en servit pour cacher un défaut qu’il avoit dans les yeux, mais il ne me dit pas dans quel temps ce Roscius vivoit ; ce qui n’avoit été employé d’abord que pour dérober une difformité, devint par la suite absolument nécessaire, vu l’immensité des Théatres, & on fit, ainsi qu’à Athenes, des masques énormes.

199. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211

L’on voit aussi dans les Annales de Nuremberg, qu’un certain jour qui est marqué, il passa dans cette grande Ville une espece de phantôme ou de grand homme, d’une figure prodigieuse, qui jouant du flageolet, parcourut toutes les rues, & tous les enfans qui l’entendirent, se mirent à le suivre comme par enchantement ; il en assembla jusqu’à 800 des deux séxes, & les conduisit hors de la Ville : ils se perdirent ensuite si absolument, que quelques diligences que purent faire les parens de ces enfans, l’on n’a jamais sçû ce qu’ils étoient devenus ; mais l’on a depuis trouvé au milieu de la Hongrie une Ville assez belle, dont les habitans ont le langage & toutes les manieres des Bourgeois de Nuremberg, mais fort différentes de celles des autres Hongrois ; ce qui fait présumer qu’ils proviennent de cet enlévement.

200. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71

Dès que j’y regarde les objets quelques instants, une sensation de trouble m’envahit et il me devient impossible de les séparer les uns des autres.

201. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

  Le Comité de Sûreté Générale de la Convention Nationale arrête que le Citoyen Gardel, directeur du grand Opéra, se rendra sur-le-champ au lieu ordinaire de ses séances, pour lui donner des renseignements qui lui deviennent nécessaires dans l’intérêt de la chose publique.

202. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159

Les pas de seize exécutés par les hommes sur des airs marqués, présentent un bel ensemble, et sont parfaitement composés ; mais cet ensemble et cette précision disparoissent totalement, lorsque le ballet, exécuté par les deux sexes, devient général : on n’y voit ni régularité ni harmonie de mouvemens ; les alignemens et les figures transversales ne sont point observés ; point d’exactitude dans la formation des pas, nul dessin prononcé dans les attitudes ; la proportion dans le déployement des jambes et l’élévation des bras est violée ; la même négligence règne dans les passes et dans les groupes.

203. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195

Il veut fuir ; mais il est arrêté par des gouffres de feu, qui s’entrouvrent sous ses pas ; l’ombre menaçante de Gélanior(1) lui apparoît, elle confirme au Tyran la fin de son règne ; l’inscription s’enflamme et devient plus terrible ; le bruit s’accroit ; le feu s’exhale de toutes parts, et Danaüs ne pouvant plus soutenir la vüe d’un pareil spectacle, tombe sans sentiment sur une couchette.

204. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128

Lorsque les Danseurs animés par le sentiment, se transformeront sous mille formes différentes avec les traits variés des passions ; lorsqu’ils seront des prothées, & que leur physionomie & leurs regards traceront tous les mouvements de leur ame ; lorsque leurs bras sortiront de ce chemin étroit que l’école leur a prescrit ; & que parcourant avec autant de grace que de vérité un espace plus considérable, ils décriront par des positions justes les mouvements successifs des passions ; lorsqu’enfin ils associeront l’esprit & le génie à leur Art ; ils se distingueront ; les récits dès-lors deviendront inutiles ; tout parlera, chaque mouvement dictera une phrase ; chaque attitude peindra une situation ; chaque geste dévoilera une pensée ; chaque regard annoncera un nouveau sentiment ; tout sera séduisant parce que tout sera vrai, & que l’imitation sera prise dans la nature.

205. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Fanny récompensa son ancien directeur en lui cédant sa cuisinière, celle qui devait devenir l’illustre Sophie. […] Là se présente l’ingénue Paquita dans l’espoir que, si elle devenait une danseuse célèbre, elle réussirait à se faire aimer de Cléofas. […] Chacun voulait voir ce qu’elle était devenue dans le ciel où elle se tenait cachée si longtemps.

206. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

D’aucuns tirèrent l’épée pour ou contre… Des paris considérables s’établirent… Pendant des mois, on épia un mouvement révélateur… A la fin, les parieurs députèrent chez la ballerine trois des leurs, chargés de lui demander la vérité à cet endroit… Quand ceux-ci se furent expliqués, Marie-Anne devint pourpre et baissa les yeux… Puis, dessinant une cérémonieuse révérence « pour s’efforcer de cacher son pudique embarras, » elle répondit d’une voix émue : — Hé ! […] Puis, sa physionomie changeait ; ses yeux noirs devenaient pleins de provocations, et sa bouche aux lèvres minces laissait apercevoir ses dents blanches.

207. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

je vais devenir mère ! […] et certain baryton devenu le patron d’une boîte à musique importante !

208. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125

mais il faut devenir agréables, premièrement à Dieu, qui est là présent ; il faut aussi choisir des plaisirs qui ne causent point de dommage.

209. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147

Les femmes de la suite de Didon se livrent à des danses plus légères, et peignent tour-à-tour ce que la volupté à de plus tendre ; insensiblement cette fête devient générale.

210. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

La mort d’Agamemnon ne m’eût donné qu’un tableau, qui seroit devenu d’autant plus révoltant que le crime seroit resté impuni ; j’eûsse été privé de tous les contrastes qui naissent de la diversité des personnages, relativement aux intérêts particuliers qui les divisent, et les font agir différemment. […] Electre, craignant que cette félicité ne lui soit ravie, et que son vengeur ne devienne la troisième victime de la fureur d’Egisthe, prie sa sœur et engage ses femmes à veiller à la conservation d’un objet si cher à son cœur ; elles se dispersent pour garder les différens passages qui aboutissent à son appartement, afin qu’elle ne soit point surprise par les ennemis de sa famille.

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