Poétique d’Aristote, chap. premier. […] Il est désigné dans ce chapitre, sous le nom de Bathyle. […] Livre des Rois, chap. 6. […] Traité de la Danse ancienne, par Cahuzac, tome premier, chap. 3. […] Cahusac, chap.
Chapitre quatrième.
Chapitre premier Sommaire. — Pourquoi j’ai le droit de publier mes confidences. — L’Académie me réclame. — Le P.
Les chantres de la musique des chapitres sont soumis au grand-chantre, qui est une dignité ecclésiastique : ils exécutent les motets, et chantent le plain-chant, etc. […] Ceux mêmes des chapitres qui exécutent la musique, ne veulent point qu’on leur donne ce nom ; ils prétendent qu’il ne convient qu’à ceux qui sont pour le plain-chant, et ils se qualifient musiciens de l’église dans laquelle ils servent : ainsi on dit les musiciens de Notre-Dame, de la sainte-Chapelle ; etc. […] On voit par-là combien les Français datent de loin en fait de préventions et d’erreurs sur certains chapitres : mais un roi tel que Charlemagne n’était pas fait pour adopter de pareilles puérilités ; il semble que cette espèce de feu divin qui anime les grands hommes, épure aussi leur sentiment, et le rend plus fin, plus délicat, plus sûr que celui des autres hommes. […] [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »] On regarde comme très défectueux le quatrième acte d’Armide ; on se demande avec surprise depuis plus de 60 ans, comment un poète a pu imaginer un acte si misérable. […] [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 6, « Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »] C’est donc le défaut seul d’expression dans la musique de cette partie d’Armide, qui l’a rendue froide, insipide, et indigne de toutes les autres.
Chapitre cinquième.
Chapitre neuvième.
Chapitre X.
Chapitre VII. […] C’est pourquoi on peut regarder ce Chapitre comme un Supplément, qui renferme aussi quantité de faits historiques sur la Danse, qui m’étoient échapez dans la recherche que j’en ai faite.
Chapitre huitième.
Chapitre III.
Chapitre XXVIII.
Chapitre VIII Sommaire. — Ce que sont les Délassements-Comiques aux autres théâtres. — L’air qu’on y respire. — M.
Chapitre IV.
Chapitre IV.
Chapitre premier. […] Voyez la note (5) du chapitre IX.
Chapitre II. […] Salomon, dans le passage de l’Ecclésiaste ; n’a nullement pensé aux danses ; mais il a seulement parlé d’une manière historique de ce qui se passe continuellement dans le monde, où quelquefois on est affligé et on pleure, et d’autres fois on saute de joie : c’est pourquoi il commence le chapitre d’où sont tirées les paroles qu’on objecte, par cette sentence : Toutes choses ont leur temps.
Chapitre septième.
Chapitre IV Sommaire. — Pourquoi on aime notre monde. — L’indépendance de la femme. — Pourquoi elles deviennent biches ou se marient. — Ce qu’est un homme à leurs yeux. — Un mot d’une fille pauvre. — Le corset et la liberté. — Sommes-nous réellement heureuses ?
Chapitre V Sommaire. — L’origine de mon nom. — Les célébrités d’encouragement. — La théorie du cancan. — La danse des nègres — Le cancan produit de 1789. — Gavarni. — Ce que je lui dois. — Ce que le cancan demande. — Rigolhocher. — La tarentule des Italiens. — Mes impressions lorsque je danse. — Mes émotions. — Le magnétisme de la musique. — Mes fureurs chorégraphiques. — Les applaudissements du public.
Chapitre VI Sommaire. — Le Casino Cadet. — Ma prime. — Scènes dialoguées. — Alida Gambilmuche. — Alice la Provençale. — Marguerite la huguenote et l’Indépendance belge. — Les femmes célèbres. — Les portraits de mesdames de Sévigné, Girardin et autres. — Alice la Provençale, choriste aux Délassements-Comiques. — Rosalba. — Cancan. — Nini Belles-Dents. — Son bonnet, les moulins et ses chapeaux. — Pourquoi elle met de côté. — Hortense. — Ernestine. — Charles le danseur. — Chopart dit l’aimable.
Chapitre VII Sommaire. — Markouski. — Ses salons. — Ce qu’il est parvenu à en faire. — Sa gravité. — L’appréciation de Finette sur lui. — Son amour pour les journalistes. — Markouski chasseur de réclames. — Le plastron des vaudevillistes. — Gil Perez et Lambert Thiboust acharnés à sa personne. — Ce qui console Markouski. — Sa manie. — « Le supporteur d’adversité. » — Une histoire vraie. — Un mardi raté. — Des Russes attendus. — Une recette de dix-sept francs cinquante. — Désespoir de Markouski. — Arrivée d’étrangers de distinction. — Départ de Gil Perez. — Trois hommes comme il faut. — L’air morgue de Markouski. — Son orgueil. — La retraite des invités. — Les goûts de Markouski contre ceux de Gustave Claudin. — Causerie intime. — Rigolo, terme espagnol. — Les fêtes à l’eau de Cologne. — Le soleil. — Transformation des Russes en gardes du commerce. — Pourquoi Markouski ne cause plus avec ses invités à partir de quatre heures. — Moi. — Mes succès dans les bals. — Mon envie d’entrer au théâtre. — Henri Delaage. — Arthur Delavigne. — Folichons et Folichonnettes. — Les Délassements-Comiques.
Chapitre III.
(B) [voir Traité historique, IIe partie, livre IV, chap. 3, « Obstacles au Progrès de la Danse »] Doubler Doubler, v. act.
Chapitre II.
Chapitre III Sommaire. — Mon âge. — Pourquoi les femmes ont tort de cacher le leur. — Un mot d’une marchande à la toilette. — Mes ennemies. — Finette, ma rivale. — Pourquoi elle m’est inférieure. — Gueymard. — Le monde de Finette. — La civilisation et nous. — Les lettres de Finette. — Les mystères de sa correspondance dévoilés. — Un métier inconnu. — Pourquoi les hommes ont raison de se laisser tromper. — Le désagrément d’avoir un secrétaire. — J’écris mes lettres moi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de B… — Sa beauté. — Les beautés de la veille. — les bons mouvements de la baronne. — Histoire d’un petit Savoyard. — Son adoption. — Ce qu’il est devenu.
Chapitre III.
Chapitre V. […] Je finirai ce Chapitre par ce que nous apprend Gafarel dans ses Curiositez inouies, ch. 3, au sujet des bals : il dit qu’Aléxandre III.
Chapitre III. […] Il nous apprend dans une de ses lettres adressées à Alippe son ami et évêque de Tagaste, ce qu’il avoit fait pour cela : un des moyens qu’il employa fut de faire lire au peuple l’histoire de l’adoration du veau d’or par les Juifs, rapportée au chapitre 32 de l’Exode : il y est dit que le peuple se leva dès le matin, pour offrir à ce veau des holocaustes et des victimes pacifiques ; qu’ensuite il s’assit pour boire et pour manger, et qu’ils se levèrent pour danser : sur quoi saint Augustin, qui n’étoit alors que simple prêtre, fit observer au peuple que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que la circonstance de la consécration et de l’adoration du veau d’or, où les excès de bouche et de danses aient eu lieu pour la célébration d’une fête : « et il en conclut que cette manière de célébrer les fêtes, n’est digne que des fêtes des idolâtres », et est par conséquent indigne des véritables chrétiens.
Chapitre IV.
Chapitre VI.
Chapitre premier.
Chapitre VI.
Chapitre II la dernière passion du chevalier frédéric de gentz En 1829, le chevalier Frédéric de Gentz, âgé alors de soixante-cinq ans, couronnait par un merveilleux roman d’amour une vie de travail et de plaisir. […] Huit chapitres du tome III, du 94e au 101e, nous racontent les prodigieux succès à Vienne de la danseuse Rosenha Engel, ses tendres entrevues avec le frêle captif de Schœnbrunn et sa complicité avec les émissaires du parti bonapartiste, le général Lebastard de Prémont et Sarranti, qui tentent de faire évader le prince pour le placer sur le trône impérial restauré. […] Elle joue le rôle que l’opinion publique attribuait à l’amie de Gentz. « Juliette chez Roméo », comme dit le titre du chapitre 98, c’est Fanny Elssler que la légende conduit chez le duc de Reichstadt. […] Mme de Stael, de l’Allemagne, II, chap. […] Chateaubriand, le Congrès de Vérone, chap.
Chapitre I.
[Chapitre XII.
Chapitre V.
Le soir où je dansai au palais, je crus que la Princesse serait seule, car nous avions entendu, comme je l’ai expliqué dans le chapitre précédent, que ses enfants n’assisteraient pas à ma représentation.
[voir Traité historique, IIe partie, livre II, chap. 4, « Des Bals »] Dans une petite île située dans la rivière de Bayonne, couverte d’un bois de haute-futaie, la reine fit faire douze grands berceaux qui aboutissaient à un salon de forme ronde, qu’on avait pratiqué dans le milieu. […] [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 2, « Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »] Ce Durand, courtisan sans talents d’un très grand ministre, en qui le défaut de goût n’était peut-être que celui de son siècle, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des fêtes de la cour de Louis XIII. […] [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Il est singulier que le règne de Louis XIII et le ministère du plus grand génie qui ait jamais gouverné la France, n’offrent rien sur cet article, qui mérite d’être rapporté. […] On avait aussi fait orner cette porte de guirlandes de fleurs semblables, et on y avait mis les armes de France et d’Espagne, et de Monseigneur le Dauphin, celles du chapitre au-dessous. Cette princesse fut haranguée par le doyen du chapitre, et conduite processionnellement jusqu’au milieu du chœur ; et quand la messe fut finie, le chapitre qui s’était placé dans les stalles, en sortit pour aller au milieu du chœur prendre Madame la Dauphine, et la précéder processionnellement jusqu’à la porte royale.
Chapitre IX.
Chapitre VII.
— Le chapitre des garnitures. — Le tutu ou cousu.
(B) [voir Traité historique, IIe partie, livre IV, chap. 6, « Preuves de la possibilité de la Danse en action »]
Chapitre XII.
Cet art intéressant mérite bien son chapitre.
(B) [Voir Traité historique, IIe partie, livre IV, chap. 12, « Règles générales à observer dans les actions de Danse »]
— le salon d’un chef de division en retraite ou d’un négociant qui a fait ses affaires, — mais curieux, eu égard à certains accessoires, à l’égal d’un chapitre des Victoires et Conquêtes.
Chapitre VII le diable boiteux Si le talent ne nuit pas au succès, s’il y aide même quelquefois, il ne suffit jamais. […] Voir chap.
La Lorette émancipée offre des traits tellement divergents, que nous les retrouverons épars dans tous les chapitres de cette esquisse physiologique. […] — La Lorette intelligente peut mettre 0 à ce chapitre de dépense. […] Nous avons pensé que ce chapitre ne devait pas figurer au budget des dépenses, et qu’il rentrait plutôt dans la section des recettes… voilà pourquoi nous l’avons placé sous un titre spécial.
Thomas l’avoit peint en grand, et avoit employé toutes les teintes de la vérité pour le faire ressemblant ; il avoit peint son àme, et son immoralité ; mais le chapitre des petites considérations obligea Thomas à ne point exposer ce tablean aux regards de public.
Chapitre IX le voyag e en amérique Fanny Elssler entreprit sa lointaine expédition sans programme arrêté, sans itinéraire établi d’avance, sans contrats fermes. […] C’est un chapitre curieux de la psychologie des foules.
Chapitre IV le ballet a l’opéra vers 1830 Véron montra pour la danse une tendresse qui n’avait d’égale que sa sollicitude pour les danseuses.
Chapitre IV.
Chapitre III l’opéra de paris sous la direction véron L’homme qui dirigeait l’Opéra de Paris en 1834 et qui alla, cette année-là, chercher Fanny Elssler à Londres, était un médecin.
Mais allez donc en remontrer à la danseuse sur ce chapitre là ; elle sait par expérience comment on arrive au cœur des femmes ; soyez tranquille.
Chapitre premier les années d’apprentissage Si jamais Vienne a mérité sa réputation, parfois discutée, de ville où l’on s’amuse, ce fut en 1815, à l’époque du Congrès.
Chapitre V marie taglioni Quatre femmes, toutes quatre danseuses, portèrent, avec un éclat inégal, le nom de Taglioni, célèbre dans les annales de la chorégraphie.
Chapitre VI les débuts de fanny elssler à paris Le départ de Véron pour l’Angleterre eut lieu dans les premiers jours de mai 1834.
La protection et la partialité sont toujours aveugles ; le grand chapitre des petites considérations gâte tout.
Levinson, dont l’érudition en matière chorégraphique est universelle, avait consacré un chapitre de son ouvrage sur les Maîtres du Ballet, publié en langue russe à Pétrograd en 1915, à Stendhal et Viganò.
Lucien, au chapitre d’Hérodote, dit que de son tems Actyon excellent Peintre fut admis aux jeux Olimpiques, pour disputer les premiers prix contre les Poëtes & les Musiciens, en exposant le tableau qu’il avoit fait des amours de Roxane & d’Aléxandre, qui lui acquit tant de gloire, que celui qui présidoit aux jeux Olimpiques, lui donna sa fille en mariage, comme un prix digne de son tableau, & dont Lucien fait la description.