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179. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Enfin, l’ensemble des objets d’art, des bagatelles, des bibelots, comme nous dirions aujourd’hui, qui garnissaient ce gynécée, était — sans en compter les meubles, les collections et les tableaux — estimé sept cent mille francs !!!

180. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Tableau très réussi au lever du rideau.

181. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Une marquise pria Fanny d’accepter, avec un tableau qui représentait Christophe Colomb, deux chiens minuscules aux oreilles percées de trous par où étaient passés des rubans de soie.

182. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

C’est un curieux tableau de mœurs149.

183. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

A mon sens, il y a des secrets qu’on peut aimer à connaître : examiner les moteurs et les matériaux des tableaux qui vous ont étonné, analyser une illusion , en un mot, voir de près ce qui nous a séduits de loin, c’est une étude qui peut et doit n’être pas sans attraits pour un esprit observateur ; mais c’est folie que d’aborder ce peuple magique ; laissez-lui son rouge et son clinquant, redoutez, l’épreuve d’une contemplation trop intime, gardez votre point d’optique ; il est des bandeaux qu’il ne faut pas arracher : le monde théâtral ne peut être regardé qu’à distance.

184. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Un auteur qui a publié en 1808 un Tableau de la société dans le royaume de Prusse, Buchholz, parle avec indignation de certains fonctionnaires qui, avec un traitement de 2 000 à 3 000 thalers, en dépensaient de 300 à 400 en un seul souper offert à des femmes de théâtre ou à des filles de joie.

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