Après la Danse et le Récit, Où, des mieux, chacun réussit, Après ce plaisir de Théâtre, Dont la Cour fut presque idolâtre,…
[3] Il y a des jeunes gens qui sont disposés naturellement en dehors ; qui ont les hanches ouvertes, les genoux et les pieds tournés en dehors ; ces principales qualités facilitent l’étude du danseur, et il réussira avec beaucoup d’avantage ; mais celui qui est naturellement en dedans, malgré le travail le plus opiniâtre, échouera dans son entreprise. […] [9] Le sujet qui est arqué doit s’exercer continuellement à tendre les genoux, et à leur donner du moelleux et de la souplesse, pour faire disparaitre la roideur qui lui sera naturelle ; cependant un tel danseur ne réussira jamais complètement dans la danse noble ; il faut alors qu’il s’adonne au demi-caractère, et peut-être ferait-il beaucoup mieux d’embrasser le genre villageois, et de s’étudier dans les pas caractéristiques. […] Pour éviter ces grands inconvénients à ceux qui désirent devenir des danseurs, on ne saurait trop examiner leur structure et leurs formes, avant de les destiner à l’art de la danse, dans lequel on ne peut réussir sans les dons de la nature. […] Celui qui est jarreté doit s’appliquer continuellement à éloigner les parties trop resserrées ; le premier moyen pour y réussir, est de tourner les cuisses en dehors, et de les mouvoir, dans ce sens, en profitant de la liberté du mouvement de rotation du fémur dans la cavité cotyloïde des os des hanches.
La Pièce dont je parle ici, Laquelle a si bien réussi, Est un sujet noble et splendide, Et c’est la Princesse d’Élide.
L’homme que la nature aura favorisé dans sa construction, parviendra à les exécuter avec grâce ; mais celui qui sera serré des hanches et qui se trouvera gêné dans le développement des jambes, ne réussira que faiblement et ne pourra bien tourner que sur le cou-de-pied ; il faut qu’il abandonne les grandes pirouettes. […] Car lorsque l’artiste est parvenu à filer, à pirouetter, le travail peut aussi le faire parvenir à tourner en arabesque, ou dans quelque autre attitude différente ; j’ai été le premier à m’écarter de la règle commune, et ayant de la facilité pour pirouetter, j’ai réussi avec quelque succès dans ces nouvelles pirouettes, dont la première est de filer trois tours, par exemple à la seconde, et de placer ensuite la jambe et les bras dans la position de l’arabesque qu’offrent la fig. 4 de la planc. […] IX) ; cette belle position est très difficile ; et si l’on n’est point cambré naturellement, on n’y réussira pas, et elle ne pourra même produire aucun effet.
La même observation vaut pour l’« Icône » ; le peintre Jacovleff a réussi, en utilisant des tissus brochés et lamés, à relier le corps de la danseuse au cadre de l’image sainte.
. — La blonde ; son tempérament, ses allures, ce qu’il faut être pour réussir près d’elle. — Eve, Vénus, mademoiselle Marquet. — Ravel. — Son opinion sur les blondes. — En mot d’un de mes amis. — La brune. — Définition de la brune. — Comment on doit lui parler. — La rousse. — Moyen de réussir auprès d’elle. — Les grises et les blanches. — La femme grise bas-bleu. — Le mépris qu’il faut avoir pour leurs amants. — Moi. — Les chauves. — Les perruques. — Celle de mademoiselle L***. — Une mèche de ses cheveux. — Un malin — Une de ses manières de se présenter à une femme. — Pourquoi mademoiselle S*** ne rit jamais. […] Pour réussir auprès d’une brune, il faut : Être blond.