/ 139
134. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Mais que l’on se donne la peine de consulter les dates.

135. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Longtemps encore elle sanglota en criant : « C’était bien la peine de faire tant de sacrifices pour un semblable résultat92 ! 

136. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Etait-ce désenchantement d’amour-propre, ambition déçue, peine de cœur ?

137. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Le public, le vrai public, eut plus de peine à accepter ces témérités chorégraphiques, ces excès de prunelles, et l’on peut dire que cette fois ce sont les avant-scènes infernales qui ont forcé la main au succès112. » Dans la presse, des voix crièrent à l’immoralité.

138. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Les couronnes s’accumulent, partout les mêmes ; les bouquets pleuvent, pluie aussi peu variée que celle qui tombe du ciel ; les pièces de vers pullulent, rarement originales, et les journalistes, très en peine de renouveler le fonds des formules laudatives, se traînent partout dans l’ornière de la phraséologie professionnelle.

139. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

On a démêlé sans peine dans les fêtes de Londres, que les préparatifs des spectacles qu’on donna à la cour, furent presque tous offerts à la curiosité des Anglais. […] Cette scène fut interrompue par une espèce d’allemand, qui perça la foule pour dire, à demi ivre, que c’était bien la peine de tant dépenser en lumières, pour ne faire voir que de l’eau.

/ 139