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121. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

— Monsieur Bichard, vous voyez bien que vous voulez encore amener le trouble ici ; qu’entendez-vous par ces paroles, sept francs dix… est-ce sept francs dix sous ? […] Vers deux heures du matin, madame de Longchamps prit la parole : elle raconta qu’un chien enragé venait de mordre le restaurateur, que celui-ci avait mordu ses garçons, et que les garçons pourraient bien mordre les danseurs.

122. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

En vain son père joignit les paroles les plus persuasives à celles de Véron et de Duponchel.

123. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Il y avait sur celle que M. de Genevois reçut de madame de Guise un Arion avec ces paroles : populi superat prudentia fluctus ; Le peuple en vain s’émeut, la prudence l’apaise. […] On vit avec la satisfaction la plus vive Zélindor, petit opéra dont les paroles et la musique ont été inspirées par les grâces, et dont toutes les parties forment une foule de jolis tableaux de la plus douce volupté. […] Desgranges, et de la complimenter : le comte de Ségur porta la parole. […] Les paroles sont de Fuzelier, la musique est de M. 

124. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

« Elle exprime avec rapidité, disait-il, les mouvements de l’âme ; elle est le langage de tous les peuples, de tous les âges, de tous les temps ; elle peint encore mieux que la parole une douleur extrême ou une joie excessive. »« Il ne me suffit pas de plaire aux yeux, proclamait-il, je veux intéresser le cœur6. » Les danses de Dauberval avaient toujours un caractère expressif.

125. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Chez l’être policé, chez le peuple sauvage, Le geste fut toujours l’universel langage2 ; Dès son enfance, aidé de ses yeux, de ses mains, L’homme dit ses besoins, ses desirs, ses chagrins ; La parole est trop peu, sans l’art du Pantomime ; Ce que diraient vingt mots, un seul geste l’exprime. […] Que votre geste enfin, plus prompt que la parole, Offre, comme un éclair, l’esprit de votre rôle.

126. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Duponchel la frappa d’une amende ; des paroles acerbes furent échangées.

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