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111. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434

Zaïre loin de se plaindre montre par une générosité ordinaire aux belles ames un air de sérénité qui rassure le Sultan, & qui calme les craintes qu’il avoit de perdre l’objet de sa tendresse.

112. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

C’était l’heure de l’école de dessin ; de là je me rendis à mes études ordinaires et ne revis Mlle Fiori que le lendemain soir, quand on porta le corps à l’église.

113. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

C’est un long dithyrambe, d’un romantisme impétueux, supérieur par sa valeur littéraire à la plupart des poèmes qui éclosent d’ordinaire sous les pas des danseuses. […] Elle me pria de me mettre au piano et m’indiqua le mouvement de la cachucha, qu’elle prenait beaucoup plus lentement qu’on ne le prend d’ordinaire.

114. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

Elle avait retenu le nom de son inventeur, qui était un des satyres suivants de Bacchus : elle était moitié grave, moitié gaie, et réunissait ces deux caractères ; telles sont à-peu-près nos chaconnes, dont le majeur a pour l’ordinaire des couplets légers, forts et fiers, et le mineur des couplets tendres, doux, et voluptueux.

115. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

Ces examens sont passés, d’ordinaire, par devant un jury intime composé des directeurs Ritt et Gailhard ; de MM.

116. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Les journaux qui lui étaient d’ordinaire hostiles eurent pour elle des égards inusités. […] « Ses bras admirablement tournés sont moins ronds que des bras de femme ordinaire, plus potelés que des bras de jeune fille ; leur linéament a un accent souple et vif qui rappelle les formes d’un jeune homme merveilleusement beau et un peu efféminé comme le Bacchus indien, l’Antinoüs ou la statue de l’Apolline ; ce rapport s’étend à tout le reste de sa beauté que cette délicieuse ambiguïté rend plus attrayante et plus piquante encore.

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