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201. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

J’en ai dit assez pour vous persuader de toutes les difficultés d’un Art qui n’est aisé que pour ceux qui n’en saisissent que les parties superficielles & qui imaginent que l’action de s’élever de terre d’un pouce plus haut que les autres, ou l’idée de quelques moulinets ou de quelques ronds doivent leur attirer tous les suffrages.

202. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Cléofas a la malheureuse idée, — c’est le diable qui le pousse, — de venir fourrer son nez à la porte du boudoir, juste au moment où Dorotea, moitié de gré, moitié de force, accorde un baiser au chérubin en uniforme, et lui laisse prendre un ruban à son corsage.

203. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Comme toutes les idées de l’Arthur libre sur la généralité des fonctions de la vie sont identiques, il s’ensuit qu’il partage d’autres meubles que la table ; et qu’il justifie l’emploi de cette formule : Là où il y a pour un, il y a pour deux. […] Toutes ne sont pas également favorisées par les chances de la vie, témoin certaine Lorette à laquelle advint ce que nous allons dire : Un matin elle se réveille avec de grandes idées d’ambition, elle regarde avec tristesse le joug quasi conjugal où elle est attachée.

204. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

L’une est une danseuse, c’est-à-dire une femme dont le charme est d’ordre physique, l’autre est la danse elle-même, c’est-à-dire un type d’art presque abstrait, une « idée » platonicienne, à peine revêtue de formes sensibles.

205. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Un groupe religieux eut l’idée de faire de la propagande en exploitant à son profit la notoriété qui s’attachait à toutes les allées et venues de l’idole.

206. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

On a comparé avec raison un danseur sans oreille à un fou qui, n’ayant aucune liaison dans les idées, ne profère que des mots vagues et dénués de sens.

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