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209. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Jusque dans sa bouche, dont la voûte palatine était formée d’un dôme de ce précieux métal !

210. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111

Le premier acte représenta d’abord la grotte de Vulcain, d’où sortirent huit Amours si bien déguisez en Forgerons, qu’on ne les pouvoit reconnoître que par l’application qu’ils avoient à former des dards & des fléches, plûtôt que d’autres armes, quoiqu’ils eussent leurs bandeaux, qu’ils sembloient n’avoir retenus que pour se garentir de l’éclat du feu, du bruit des marteaux & des enclumes : ils firent une Entrée de Balet d’une composition très-ingénieuse.

211. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -

Mais en quelqu’état qu’on les considère, les saints n’ont jamais pu se persuader que Dieu en soit l’auteur, et ils ont conclu au contraire qu’elles n’ont pu être que l’ouvrage du démon : ce qui a fait dire à Tertullien, que Dieu a formé le monde, mais que c’est le diable qui en fait les pompes et les vanités.

212. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

. — Rapprochées par un commun désir de vengeance, elles oublient leur rivalité, et forment contre la veuve une alliance offensive et défensive, à laquelle Asmodée vient généreusement promettre son appui.

213. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

« J’ai le courage de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton cœur, et si, par une simple pression de ta main, tu m’affirmes que je ne me suis pas trompé, il ne me restera plus de vœux à former à l’occasion de la fête du 23 juin, après le bonheur que j’ai eu la veille. » Les deux amants sont à Vienne. […] Ainsi se forma chez elle ce sentiment complexe, « flottant entre l’amitié, la reconnaissance et l’amour », comme disait Gentz à Rahel.

214. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

La danse se prête peu à rendre des idées métaphysiques ; elle n’exprime que des passions : l’amour, le désir avec toutes ses coquetteries, l’homme qui attaque et la femme qui se défend mollement forment le sujet de toutes les danses primitives.

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