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98. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Cela est si vrai, que les fausses Divinitez qui ont donné lieux aux fables, n’ont été employées par les Poëtes dans leurs fictions, que parce que les Peintres & les Sculpteurs les avoient déja exposées aux yeux des Egiptiens pour les adorer.

99. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

L’arrangement était fait de manière qu’il n’y eût point un faux ton dans l’exécution : y hazien cousus aullidos altos y baxos una musica ben entonada, che era eosa nueva y mucho de ver.

100. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

La nouvelle était malheureusement fausse.

101. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

L’aventure eut du moins pour le faux défunt un côté agréable : il put lire son éloge dans des articles nécrologiques trop précipitamment imprimés.

102. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Une amie lui fit observer qu’elle était dans une fausse route, la Lorette haussa les épaules, prit une délicieuse boîte de la papeterie Marion, en tira un bâton qui sert à sceller les lettres, et montrant avec orgueil l’inscription, elle prouve à la donneuse d’avis qu’on écrivait cire par un c.

103. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

C’est par cette galanterie ingénieuse, que le cardinal de Savoie se vengea de la fausse opinion que les courtisans de Louis XIII avaient pris d’une nation spirituelle et polie, qui excellait depuis longtemps dans un genre que les Français avaient gâté. […] On préféra pour tout cet édifice et pour ses ornements, la couleur de pierre blanche à celle des différents marbres qu’on aurait pu imiter ; outre que la couleur blanche a toujours plus de relief, surtout aux lumières et dans les ténèbres, la vraisemblance est aussi plus naturelle et l’illusion plus certaine : aussi ce temple faisait-il l’effet d’un édifice réel, construit depuis longtemps dans la plus noble simplicité de l’antique sans ornement postiche, et sans mélange d’aucun faux brillant.

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