Ici la flamme intense du regard anime la figure ; si le menton et la mâchoire ont pris un peu de lourdeur, l’ensemble de la physionomie a gardé un air remarquable de finesse et de séduction vivace. […] Sans doute les Reisebilder de Heine, de ce malfaiteur littéraire qui était frappé d’interdiction pour cause de libéralisme, mais dont Gentz et Fanny savouraient ensemble, en cachette, les poésies, comme il l’avouera plus tard à Rahel.
J’exigerois encore comme une chose absolument indispensable que l’on donnât aux parties latérales de la droite et de la gauche du théâtre six toises au moins de largeur à prendre depuis le premier chassis qui suit le Proscénium jusqu’au maître mur ; cet espace nécessaire à la manœuvre perpétuelle des ouvriers, à l’entrée des acteurs, des corps de danse, des chœurs, et des comparses, donneroit beaucoup de facilité à toutes les brandies de service, et il en naîtroit un ensemble, une précision, une variété dans les effets et un silence qui n’ont jamais existé à l’opéra.
Ce contraste d’une volubilité extrême, et d’un flegme inébranlable produit sur moi le même effet, des contraires aussi choquans ne peuvent en vérité trouver place sur la scène ; ils en détruisent le charme et l’harmonie et privent les tableaux de leur ensemble.
Enfin, l’ensemble des objets d’art, des bagatelles, des bibelots, comme nous dirions aujourd’hui, qui garnissaient ce gynécée, était — sans en compter les meubles, les collections et les tableaux — estimé sept cent mille francs !!!
Comme le même journal a calculé qu’elle a dansé cent quatre-vingt-dix-neuf fois, il conclut : « Ne sont-ce pas là tout ensemble des travaux d’Hercule et de Démosthène ?
Mais si l’on néglige ces petits détails qui font tache, l’ensemble remplit d’admiration.