Les décors avaient été plus loin ; on doit même avouer que s’ils n’étaient pas encore parvenus aux admirables effets que nous contemplons aujourd’hui, du moins ils étaient déjà dans les voies de remarquables améliorations ; à l’exception de l’immuable temple grec, ils étaient convenables. […] Les effets de cette mise en scène, si palpitante d’énergique vérité, ne se sont pas bornés là.
Même en laissant de côté les emprunts excessifs que la Juive et les Huguenots faisaient au cirque, ces œuvres en elles-mêmes, dans leur structure intime, avec leurs dispositions calculées en vue de l’effet, avec leurs prétentions au grandiose, constituaient un genre éloigné de la vraie grandeur et de la vraie beauté.
Or, Florinde s’aperçoit qu’elle produit très peu d’effet, que le pas de sa partenaire est beaucoup plus brillant, mieux dessiné que le sien ; en un mot, qu’elle a été complètement sacrifiée.
Les fâcheux effets de l’enseignement académique furent conjurés par un séjour que la brillante élève d’Aumer fit en Italie.
La jeune danseuse avait ajouté au scenario un effet des plus heureux et des plus piquants. » *** Mais l’esprit que Pauline Duvernay possédait par dessus toutes choses, c’était l’esprit des aventures.
Cela me produit l’effet d’une malédiction poétique.