D’abord, les Délassements lui rapportent beaucoup d’argent, il s’y fait avec ses cours à domicile, sa régie, ses représentations et ses droits d’auteur, quelque chose comme sept à huit mille francs par an. […] Mais ceux-là ont parfaitement le droit d’y venir.
Mais comment jugera-t-on du mérite d’un Ouvrage, me demandera-t-on sans doute, si, selon vous, personne n’est en droit de l’approuver ou de le critiquer ? […] Ne peut-il pas arriver, me répliquera-t-on, que tel homme qui s’arroge le droit de prononcer définitivement, réunisse toutes les connaissances répandues parmi l’espèce humaine, ou possède ce tact fin, cette délicatesse de goût, qui devient l’interprète du goût universel, dont il est comme émané ; car qu’est-ce que la saine critique, si ce n’est le sentiment intime de ce qui peut généralement nous plaîre ; sentiment acquis par l’étude ou par l’heureuse conformation des organes ?
Sur ces entrefaites deux dames entrèrent dans la chambre qui servait de vestiaire et se dirigèrent droit vers le lit où, en désespoir de cause, on avait reposé le bébé.
Mais s’ils s’arrogent des droits tout-à-fait impertinens, ce n’est point leur faute ; qu’on s’en prenne à ceux qui pourraient mettre un frein à leur orgueil, & qui les laissent tranquillement former un Aréopage aussi indécent que ridicule.
De quel droit prétend-on donc s’opposer à ces jugemens et à ces réglemens ?
La beauté tectonique de ses poses, leur agencement plastique est de même très aigu et très pur ; elles valent, ces poses, non par les grandes lignes droites qui font du corps, une flèche dardée dans l’infini ou par les courbes puissantes, mais par le jeu des angles aigus et des mouvements parallèles et opposés.