Les lèvres de la prostituée sont comme le rayon d’où coule le miel, et son gosier est plus doux que l’huile ; mais la fin en est amère comme l’absinthe, et perçante comme l’épée à deux tranchans : ses pieds descendent dans la mort, ses pas s’enfoncent jusqu’aux enfers ; ils ne vont point par le sentier de la vie ; ses démarches sont vagabondes et impénétrables : maintenant donc, mon fils, écoutez-moi, et ne vous détournez point des paroles de ma bouche : éloignez d’elle votre voie, et n’approchez point de la porte de sa maison. […] Si on peut dire avec le Saint-Esprit, que les pas de ces sortes de personnes s’enfoncent jusqu’aux enfers , (en ce sens que, n’y tombant pas tout d’un coup, du moins ils y descendent comme insensiblement et par degrés,) combien doit-on craindre, en s’attachant à elles, de descendre avec elles dans les enfers où leurs pas les conduisent !
Du même instant-il fait deux ou trois pas en avant, pour adresser une autre reverence à la Princesse ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la convier de venir danser, & là il l’attend, afin de faire tous les deux une reverence très-profonde au Roy, de même qu’il est réprésenté par ces deux Figures 1. 2. ensuite ils descendent un peu plus bas, comme ces deux autres Figures 3. 4. le réprésentent, & font ensemble les reverences que l’on fait ordinairement avant de danser, & dansent le menuet, ils font à la fin du menuet les reverences que l’on fait ordinairement ; ensuite il fait une reverence en arriere en quittant la Dame, & se va mettre à sa place ; mais la Dame observe le même cérémonial pour convier un autre Prince, ce qui se pratique successivement jusqu’à la fin.
Au premier arrêt je descendis et sautai dans un train qui me ramena à Paris. […] Je m’habillai en hâte, empaquetai mes affaires pêle-mêle, et lorsque le train s’arrêta à la station suivante, je descendis avec tous mes bagages.
Un Magicien descend du Ciel, dans un char. […] Plusieurs petits Génies descendent sur des nuages dorés, chargés de faisceaux d’échasses.
Hercule lui avoue que son épouse s’est devouée à la mort, pour lui conserver la vie, et il la lui montre entourée de sa sœur, de ses enfans et de ses femmes ; Admète s’approche de ce tableau avec effroi, et se précipite aux genoux de son épouse ; mais la voyant sans vie, il se saisit du poignard, et veut se frapper ; Hercule lui arrête le bras, le désarme et lui promet de descendre aux enfers, de ravir son épouse à l’empire de Pluton et de la rendre à sa tendresse : Hercule se jette à genoux, étend ses bras vers le ciel et supplie Jupiter de lui accorder cette nouvelle victoire, Le Maître des Dieux est sensible à la prière de son fils ; la foudre gronde, l’éclair perce la nue ; le Tonnerre frappe la terre : elle sentrouvre et offre une route à Hercule. L’Amour paroît avec son flambeau pour le guider et éclairer les pas du héros, il embrasse Admète, le confie aux soins de ses compagnons, à la tendresse de tout ce qui l’entoure et descend aux enfers.
Il y a là dedans, du pain, une victuaille froide quelconque, — qui descend de l’aile de faisan au cervelas à l’ail, et qui remonte de la croûte de gruyère à la patte de homard, — des bonbons, un tricot, des cartes pour les réussites, et le dernier volume de M. […] … Vous êtes enchaînées ; Mérante fait son entrée ; vous le laissez descendre, et vous lui dites : — Vous… nous… de grâce !