Par malheur, un défaut de prononciation nécessitait chez elle l’emploi de ces boules de caoutchouc par lesquelles nos apprenties Rachel remplacent les cailloux de Démosthènes.
Mademoiselle Elssler possède de superbes cheveux qui s’abattent de chaque côté de ses tempes, lustrés, et vernissés comme deux ailes d’oiseau ; la teinte foncée de cette chevelure tranche un peu trop méridionalement sur le germanisme bien caractérisé de sa physionomie : ce ne sont pas les cheveux de cette tête et de ce corps… « … On a appelé Mademoiselle Elssler une Espagnole du Nord », constate-t-il en accentuant l’antithèse : « C’est son défaut.
A défaut de sa sœur, Fanny emmena sa cousine germaine, Catherine Prinster, fille d’un des musiciens du prince Esterhazy. […] Certains défauts que les Parisiens reprochaient à Fanny Elssler lui donnaient sur les Américains un pouvoir irrésistible.
car il faut vous l’avouer, Giselle a un défaut, du moins c’est sa mère qui le dit : elle est folle de danse, elle ne songe qu’à cela, elle ne rêve que bals sous la feuillée, valses interminables et valseurs qui ne se fatiguent jamais.
Il y a peut-être encore un défaut dans la forme du ballet créé par La Motte.
Experte en son art, comme son oncle, comme son père, qui fut longtemps chargé de la classe des garçons ; mais affligée d’un défaut dont elle n’a jamais pu se corriger.