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151. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Faut-il qu’un Auteur abandonne ses sentiments & renonce sans cesse à la nature pour se livrer à des féeries & à des bambochades, ou ne peut-on être ému que par un Spectacle continuel de Dieux & de Héros introduits sur la Scene ?

152. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Mais après cette période de vaches maigres, celle des vaches grasses revint, et c’est en pleine prospérité que Véron cessa son exploitation.

153. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Enfin, six mois s’écoulent, et la correspondance cesse. […] — Des excuses, j’aimerais mieux m’en aller sans payer mon dîner, La maîtresse de la maison se penche à l’oreille du nouveau venu et lui dit : « Pour faire cesser ce conflit, et raviver les enchères, dites huit francs. » Le nouveau venu dit huit francs.

154. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Il prétendait que, malgré les prodiges réalisés par les peintres-décorateurs et les couturiers, Véron, jamais satisfait, les obligeait sans cesse à remanier leur ouvrage.

155. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

« Voyez au contraire, dit-il, ce qui se passe en Espagne : c’est là une danse parlée qui a des signes, des gestes et des bonds, pour chaque lettre de l’alphabet ; sans cesse, vous la voyez traduire une phrase d’amour et de volupté ; elle vous fait rire et pleurer ; elle vous rend amoureux, tendre, sensible, colère, jaloux ; c’est là de l’éloquence ! 

156. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Sa popularité sans cesse grandissante augmentait les alarmes des rigoristes qui l’avaient condamnée dès le premier jour.

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