Elle a beaucoup de talent et je désire que les salons viennois la connaissent.
« Que les danses et les bals sont des choses indifférentes de leur nature ; et qu’ainsi on peut y aller, pourvu que ce soit rarement, avec beaucoup de circonspection, et par une sorte de nécessité. » Mais qu’on lise attentivement les ouvrages ; de S.
On sent bien que j’ai dû faire beaucoup de réflexions sur chacun d’eux séparément, et sur les rapports généraux qui les lient les uns aux autres.
J’eûs beaucoup de peine à retrouver l’éscalier de ces catacombes ; je me heurtois fortement la tête et les jambes ; mais je parvins enfin à sortir de ce lieu triste et ténébreux ; je traversai péniblement l’ancienne Rome ; j’étois entouré de décombres ; mais au milieu d’eux, je voyois encore de magnifiques colonnes, de superbes portiques, et de belles statues échappés à la main destructive des barbares, et. que le tems avoit respectés.
L’harmonie et l’élégance des lignes, la légèreté de la démarche, la finesse du visage qui sont l’heureux apanage de beaucoup de ses compatriotes avaient chez elle une perfection particulière et la faisaient apparaître comme un des exemplaires les plus irréprochables du type. […] Les défauts que l’on reprochait à beaucoup de danseuses françaises étaient l’automatisme, la convention, la monotonie, les grâces trop étudiées. […] Point de danger qu’elle péchât, comme beaucoup de danseuses françaises, par excès de correction.
J’exigerois encore comme une chose absolument indispensable que l’on donnât aux parties latérales de la droite et de la gauche du théâtre six toises au moins de largeur à prendre depuis le premier chassis qui suit le Proscénium jusqu’au maître mur ; cet espace nécessaire à la manœuvre perpétuelle des ouvriers, à l’entrée des acteurs, des corps de danse, des chœurs, et des comparses, donneroit beaucoup de facilité à toutes les brandies de service, et il en naîtroit un ensemble, une précision, une variété dans les effets et un silence qui n’ont jamais existé à l’opéra. […] Comme ils ne sont point machinés et que tout s’y meut et y joue à force de bras, la manœuvre s’y fait avec beaucoup de peine, de confusion et d’imprécision : mais ces salles m’ont toujours parues trop grandes et pour le public et pour les acteurs, et surtout pour la mesquinerie qui règne en général dans les opéras Italiens. […] Je voudrois beaucoup de simplicité dans les ornemens des loges ; la richesse de celles-ci seroit aussi préjudiciable aux femmes qui les occupent, que celle de l’avant-scène le deviendroit aux acteurs et aux décorations.