Les fêtes publiques, les cérémonies religieuses offraient toujours chez les anciens le mélange de la poésie et de la musique. […] Sancy rapporte, à cette occasion, que Claudin, musicien, composa des airs qu’il joua dans ces fêtes. […] Les ballets, les intermèdes, les fêtes, les tournois, les carrousels, les comédies et les mascarades dans lesquels on unissait la musique à la poésie, ne manquèrent pas sous les règnes de Charles IX et de Henri III. […] L’Opéra ne représentait pas non plus le 2 février et le 25 mars, fêtes de la Vierge, pendant la semaine sainte jusqu’au mardi après Pâques, le dimanche de la Pentecôte, les 15 août et 8 septembre, 1er novembre, 8, 24 et 25 décembre. […] Mais ce qui acheva de placer bien haut l’Opéra dans l’opinion publique, ce fut la fête donnée pour l’inauguration des bustes de Marat et de Lepelletier-Saint-Fargeau par la section de Bondy ; elle eut lieu le sextidi, 6 brumaire de l’an II (27 octobre 1793).
C’est alors fête dans le théâtre ; on est tenté d’illuminer.
C’est une des principales reliques de l’église de Custrin. » Du côté de Leybach, les jours de fête, lorsque les Ondins et les Ondines s’ennuient, ils vont se mêler à la danse des paysans et surtout des pêcheurs, pour lesquels ils ont une prédilection naturelle. […] Quand le rideau se lève, le soleil éclaire les rives fécondes et les vigoureux paysages de la Sicile ; c’est la fête de la Madone, Paysans et pêcheurs, réunis sur le rivage, font les préparatifs de la fête.
Agamemnon qui partage la félicité de sa famille et la joye de son peuple, ordonne à ses guerriers de commercer des fêtes ; il ne dédaigne point de s’y associer et engage sa famille à les embellir. […] Cette fête générale est interrompue pendant quelques instans par un pas en action entre Agamemnon, Clytenmestre, Egisthe, Electre, Iphise et Cassandre ; cette scène dialoguée, en développant le caractère et les passions de chaque personnage, sert encore au nœud de l’action. […] La fête recommence, et après plusieurs pas adaptés au sujet et au caractère mâle et héroïque de ce genre, elle se termine par un pas de progression dont la dernière figure offre un grouppe pyramidal orné de tous les trophées de la victoire, propres à caractériser la pompe et la majesté qui règnoient dans les entrées et les fêtes triomphales des anciens.
De ma fenêtre, je regardais la fête, et je pensais à l’autre souper où j’avais été involontairement invitée.
Je fus long-temps attaché aux ballets de la Cour ; j’y composais des fêtes et des petites pièces : elle m’en a récompensé par des bienfaits et pensions. […] En formant l’Opéra comme spectacle maîtres à danser, dont la science était très-bornée ; aussi lorsque Lullyfut à la tête de ce spectacle, en 1672, il donna les Fêtes de l’Amour et de Bacchus. […] Il se rendit si illustre à la Cour, par ses inventions de ballets, de musique, de fêtes et de représentations, qu’on ne parlait que de lui. […] « En Espagne, les moines mettaient des masques et dansaient dans l’église en plusieurs fêtes solennelles ». […] Le souverain qui sait bien choisir, pour imaginer, arranger et conduire une fête d’éclat, diminue quelquefois de moitié sa dépense, et double sa gloire ».
Il fut réprésenté à Brunoy, et faisoit partie d’une fête de jour, que Monsieur, donnoit à la Reine.
Puis il se rend à une fête populaire où il voit les principales danses nationales de l’Espagne, le zapateado, les manchegas, el jaleo, las boleras, et d’autres. […] Le 11 août eut lieu à Trianon une fête où la cour et ses invités firent aux deux sœurs un accueil chaleureux. […] … A toi, mon Andalouse, et les sérénades le soir, et les fêtes le jour, à toi les parfums enivrants, les agrafes de diamants pour attacher ta ceinture, à toi les applaudissements convulsifs du peuple, les couronnes de reine et les amours de prince ! […] Dans l’élan de sa joie et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offrit aux deux sœurs une fête champêtre au village de la Forêt. […] *** Cette fête eut un lendemain cruel.
Comme l’on aurait aimé, sinon la clairière romantique des Sylphides, du moins une salle de fête seigneuriale dans un château « Empire » ou bien dans un vieux manoir hanté.
A la fête de saint Martial, apôtre du Limousin, le peuple dansait encore vers le milieu du dernier siècle dans le chœur de l’église, dont ce saint est le patron. […] Celle des Fêtes de Polymnie, ballet de M.
Dans les décorations de goût et d’idée, comme Palais Chinois, Place publique de Constantinople, ornés pour une fête, genre bizarre qui ne soumet la composition à aucune règle sevère, qui laisse un champ libre au génie, et dont le mérite augmente à proportion de la singularité que le peintre y répand ; dans ces sortes de décorations, dis-je, brillantes en couleurs, chargées d’étoffes rehaussées d’or et d’argent, il faut des habits drapés dans le Costume, mais il les faut simples et dans des nuances entièrement opposées à celles qui éclatent le plus dans la décoration si l’on n’observe exactement cette règle, tout se détruira faute d’ombres et d’oppositions ; tout doit être d’accord, tout doit être harmonieux au théâtre : Lorsque la décoration sera faite pour les habits, et les habits pour la décoration, le charme de la représentation sera complet. […] Les jalousies ou les fêtes du serrail vous ont offert l’esquisse de la distribution qui doit règner dans les quadrilles des ballets ; mais comme il est plus ordinaire d’habiller les danseurs et les danseuses uniformément, j’ai fait une épreuve qui m’a réussi, et qui ôte à l’uniformité des habits le ton dur et monotone qu’ils ont ordinairement ; c’est la dégradation exacte de la même couleur, divisée dans toutes les nuances, depuis le bleu foncé jusqu’au bleu le plus tendre ; depuis le rose vif jusqu’au rôse pâle ; depuis le violet jusqu’au lilas clair : cette distribution donne du jeu et de la netteté aux figures ; tout se détache et fuit dans de justes proportions ; tout enfin a du relief et se découpe agréablement de dessus les fonds.
Après avoir débuté à Rome comme danseur, Salvatore partit avec son oncle Giovanni Viganò pour l’Espagne afin de prendre part aux fêtes du couronnement du roi Charles IV. […] Il commençait par une fête, idée originale dont Stendhal a célébré la hardiesse en une page souvent citée17. […] Tout ce que le drame parlé peut admettre dans ce genre, Shakespeare l’a donné, mais le Chêne de Bénévent est une bien autre fête pour l’imagination charmée que la Grotte d’Imogène ou la Forêt des Ardennes du mélancolique Jacques. […] Stendhal aimait ce ballet qu’il disait être « une fête pour l’imagination ».
Les gazettes mondaines annonçaient que « la charmante comtesse de L… l’apprenait pour l’exécuter à l’une de ses fêtes les plus prochaines ». […] Paris fit fête à l’artiste que la destinée lui rendait après une crise alarmante. […] Fanny, qui n’a jamais quitté la terre, a dansé devant le voluptueux Sardanapale, et dans les fêtes olympiques de la Grèce. […] Tous deux représentèrent avec éclat au mois de juin 1837 l’Académie royale de Musique aux fêtes qui se donnèrent à Versailles à l’occasion du mariage du duc d’Orléans. […] En effet les deux danseuses étaient engagées à Londres pour les fêtes du couronnement de la reine Victoria, qui eurent lieu à la fin de juin 1838.
Inutile de dire que, pendant la durée de la fête, le cachemire a été retiré du vestiaire par une amie intelligente et remplacé par le tartan en question.
C’était un bal de nuit, la fête était charmante.
Immobile, la main gauche comprimant les frémissements de mon cœur, j’attendais, les yeux en fête : il détourna la tête et passa.
On se livre à des danses ; et cette fête qui est le triomphe de la beauté, de l’amour et de la valeur, se termine par un pas général, qui peint la félicité des deux époux, la joie pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les chevaliers et les dames prennent à cette union.
Pyrrhus est inquiet ; vivement agité par les mouvemens de son cœur, il oublie cette fête, l’ouvrage de sa valeur et de sa clémence, pour ne penser qu’à Polixène.
Je terminais en demandant un présent pour ma fête.
La première actrice du Théâtre National entendit parler de la fête et voulut y assister.
Dèslors, avant de choisir des airs pour y adapter des pas ; avant d’étudier des pas pour en former ce que l’on appelloit dans ce temps là un ballet, je cherchai, soit dans la fable, soit dans l’histoire, soit enfin dans mon imagination, des sujets, qui, non seulement présentâssent l’occasion d’y placer à propos des danses et des fêtes etc. mais qui offrissent encore dans leur développement une action et un intérêt gradués, mon poème une fois conçu, j’etudiai tous les gestes, tous les mouvemens et toutes les expressions qui pouvoient rendre les passions et les sentimens que mon sujet faisoit naître.
Solon qui venoit de l’entretenir de l’utilité des tragédies lui répond ainsi : « j’ai vû jouer des tragédies aux fêtes des Bacchanales ; les tragédiens sont montés sur des éspèces d’échasses ; ils portent des masques énormes dont l’ouverture de la bouche est considérable ; il en sort avec fracas des mots graves et sentencieux.
Un bal improvisé termina la journée138. » Les marins du Chistophe Colomb, en rade de Boston, ayant organisé une fête en l’honneur de Fanny, elle leur rendit la politesse en invitant deux cent cinquante hommes de l’équipage à une représentation dont elle composa le programme à leur intention. […] Elle fut l’héroïne de fêtes somptueuses que de grands seigneurs donnèrent soit à la Havane, soit aux environs, par exemple à Matanzas, dans le décor féerique de la végétation des Antilles. […] Les typographes de Philadelphie l’invitèrent à leur fête corporative. […] Les Américains avaient voulu tout simplement empêcher la fête française et s’y étaient pris très brutalement.
« Je ne vois autre chose dans les fêtes de l’antiquité fabuleuse, se plaint l’illustre chevalier Noverre, que des marches, des contremarches, et des évolutions propres à former mille figures variées. »Pour le ballet renaissant, issu de l’esprit antique, c’est le cheminement des danseurs sur la surface plane qui seul importe. […] Mais il convient d’attester que, à aucun moment de la fête, Athikté n’imite les actes d’autrui ni ne peint, comme le veut Aristote, des mœurs.
Hercule, Déjanire, Jolé, Philoclète et Hilias se mêlent à cette fête pour en augmenter la magnificence.
Les mouvemens nobles et vifs de cette dernière fête, caractérisent la félicité des epoux, le bonheur de Roxane, la satisfaction d’Alexandre, et la joie de tous ceux qui ont été témoins de la victoire que ce héros a remportée sur lui-même.
Lucile Grahn Cette blonde fille du Danemark entrait à l’Opéra, au mois de juillet 1838, — par la porte vermoulue d’un ancien ouvrage démodé, le Carnaval de Venise… Là-bas, à Copenhague, — la vieille et sainte ville, enfouie au fond du Nord, qui vous apparaît avec son gothique entourage de basiliques romanes et de maisons pointues, — elle s’était montrée, à l’âge de quatorze ans, dans le rôle de la princesse Astride, de Waldemar, et dans le principal personnage de Hertha, deux ballets empruntés aux chevaleresques traditions et à la mythologie scandinaves… Et ses compatriotes avaient fait fête à l’envi à ce prodige enfantin, dont toutes les convoitises se portaient vers la France, — cette France qui donne, quand il lui plaît, aux comédiens et aux danseuses de grandes et sublimes leçons !
des Fêtes de l’hymen, en est un moderne ; presque toutes les chaconnes de Lully, ainsi que ses passacailles ont été parodiées par Quinault ; c’est dans ces canevas que l’on trouve des vers de neuf syllabes, dont le repos est à la troisième ; ce Poète admirable ne s’en est servi que dans ces occasions. […] Le chant consacré par la nature pour nous distraire de nos peines, ou pour adoucir le sentiment de nos fatigues, et trouvé pour exprimer la joie, servit bientôt après pour célébrer les actions de grâces que les hommes rendirent à la Divinité ; et une fois établi pour cet usage, il passa rapidement dans les fêtes publiques, dans les triomphes, et dans les festins, etc. […] Tout ce que la magie a de redoutable ou de séduisant, les tableaux de la plus grande force, les images les plus voluptueuses, des embrasements, des orages, des tremblements de terre, des fêtes brillantes, des enchantements délicieux ; voilà ce que Quinault demandait dans cet acte : c’est là le plan qu’il a tracé, que Lully aurait dû suivre, et terminer en homme de génie par un entr’acte, dans lequel la magie aurait fait un dernier effort terrible, pour contraster avec la volupté qui devait régner dans l’acte suivant. Qu’on se représente cet acte exécuté de cette manière, et qu’on le compare avec le plat assemblage des airs que Lully y a faits ; qu’on daigne se ressouvenir de l’effet qu’a produit une fête très peu estimable par sa composition, qui y a été ajoutée lors de la dernière reprise, et qu’on décide ensuite s’il est possible à un poète d’imaginer un plus beau plan, et à un musicien de le manquer d’une façon plus complète.
Clotilde Mafleuroy Le temps était passé des sentimentalités hypocrites, des débauches économiques et des orgies de brouet noir des Jacobins, — ce temps où mademoiselle R…, qui avait dû céder aux puissantes instances de Danton, demandant un jour à celui-ci : — Citoyen, que me donneras-tu pour ma fête ? […] … La belle Clotilde Mafleuroy était une des reines de ces fêtes. […] Mademoiselle Aubry Elle avait souvent figuré dans les fêtes civiques de la Révolution où elle était chargée de personnifier la Liberté, en compagnie de mademoiselle Duchamp, l’Egalité, et de mademoiselle Florigny, la Fraternité.
Ce n’était pas impunément que le fameux viveur avait passé, durant toute sa vie et sans s’accorder de repos, du tourbillon des affaires au tourbillon des fêtes. […] C’était le jour où la jeune fille, dont le vrai nom était Françoise, célébrait sa fête. Gentz lui écrit : « Je ne pouvais me décider à vous envoyer en guise de salut pour le jour de votre fête des fleurs fraîches, parce qu’elles sont un symbole trop attristant de fragilité. […] « J’ai le courage de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton cœur, et si, par une simple pression de ta main, tu m’affirmes que je ne me suis pas trompé, il ne me restera plus de vœux à former à l’occasion de la fête du 23 juin, après le bonheur que j’ai eu la veille. » Les deux amants sont à Vienne. […] Le soir sa bonne humeur avait mis en fête le salon du prince.
Le dernier n’offroit qu’une fête, où la danse seule brilloit de tout son éclat.
Cette fête se termine par des danses caractéristiques, analogues au sujet et au site de l’action, dans les quelles Danaüs soutient son caractère, en mêlant à l’expression d’une joie feinte, les transports d’une haine implacable.
*** Moins d’une année après cette singulière ambassade et cette solennelle déclaration, — le 15 juin 1731, — il y avait fête galante à l’hôtel de l’Académie. […] En quittant le théâtre, cette virtuose emporta ce genre agréable avec elle. » *** En 1766, comme elle exécutait un pas dans les Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, mademoiselle Guimard reçut sur l’un de ses bras — qui fut brisé — un morceau de décor détaché du cintre.
J’ai composé ce pas à Stuttgard, dans le premier acte du ballet d’Alceste, et il faisoit partie de la fête qu’Admete donnoit à Hercule et Lycomede.
Secondement, les Danses des Fêtes particulières des Anciens furent appelées du même nom générique qu’on donnait à la Danse3 théâtrale.
Veut-il nous montrer les magnifiques jardins du sérail préparés pour une fête que sa hautesse donne à ses sultanes ?
Les jours de fêtes, et dimanches, il parcouroit les après-diner, les villages voisins ; regardoit jouer les paysans se mêloit souvent à leurs jeux, prenoit leur allure, et leur langage ; il appelloit cela s’instruire en s’amusant.
Cette fête enfin se termine par un grouppe général, qui peint la félicité des amans et la joye de ceux qui en sont les témoins.
Pour le bouquet de la fête, on prie Florinde de danser. — Elle s’avance en basquine de satin rose garnie de larges volants de dentelle noire ; sa jupe, plombée par le bord, colle exactement sur ses hanches ; sa taille de guêpe se cambre audacieusement et fait scintiller la baguette de diamants qui orne son corsage ; sa jambe, polie comme le marbre, luit à travers le frêle réseau de son bas de soie ; et son petit pied, en arrêt, n’attend pour partir que le signal de la musique. […] La décoration représente, au dire du livret, un paysage sur le bord du Manzanares, enjambé par un pont qui doit être le pont de Tolède. — C’est une de ces fêtes espagnoles dont quelque saint est le prétexte, celle de san Anton, si vous le voulez, dont la chapelle est ornée de fresques de Goya.
C’est au milieu de cette fête que Camille paroît pour y semer l’horreur et la confusion.
La soirée eut le caractère d’une fête de famille. […] Les jours suivants, Fanny acheva de conquérir les Milanais en faisant des largesses aux pauvres et en participant à des fêtes de bienfaisance. […] Au nombre des heureux mortels admis à jouir de ces fêtes exceptionnelles, il y avait les Rothschild.
La présence de ces hôtes illustres provoqua un mouvement de fêtes qui entraîna toutes les classes de la société. […] La série trépidante et ininterrompue des fêtes mondaines rouvrait au commerce des sources, longtemps taries, de prospérité.
(B) Débordement Débordement, grande et belle machine de la seconde entrée du ballet des Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, dont on trouvera la figure et la description dans un des volumes de planches gravées.
Après la représentation, il y eut un grand banquet, offert par le comité des fêtes.
On donna en l’année 1710, les fêtes Vénitiennes opéra-ballet, dans un divertissement de cet ouvrage il falloit chanter, et danser le menuet : les premiers danseurs ayant la voix rauque et usée ne purent raisonnablement se charger de ce double emploi, on le confia à Marcel alors prèsqu’ignoré ; il chanta agréablement, et dansa le menuet avec cette élégance que lui prêtaient sa taille et sa figure, et avec cet amour-propre, et cette hardiesse familière aux demi-talens.
Dorat a fait avec justice l’éloge de la danse, de la pantomime et du ballet, où : « Là pour nous enchanter tout est mis en usage, « Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. » Le poète a rendu hommage à l’art choréographique des Noverre, des Dauberval et des Gardel, dont l’origine, ainsi que celle des Opéras et des spectacles, se doit à Bergonce de Botta, gentilhomme de Lombardie, qui signala son goût par une fête éclatante qu’il prépara dans Tortone pour Galeas, duc de Milan, et pour Isabelle d’Aragon, sa nouvelle épouse.
) homme expérimenté dans le dessein, la peinture, la sculpture, l’architecture, et la perspective, qui invente ou qui exécute et dispose des ouvrages d’architecture peinte, et toutes sortes de décorations, soit pour le théâtre, soit pour les fêtes publiques, les pompes funèbres, les processions, etc.
Le nez de carton demande chaque soir à son portier si on n’est pas venu indiquer le jour et le lieu de la fête à laquelle il a souscrit. […] Le 19 mars c’est sa fête ; madame de Longchamps lui ménage une surprise : elle fait imprimer de nouvelles invitations et indique la demeure de son amie comme lieu de la réunion. […] Excellents cœurs, mauvaises têtes, Sans raison comme sans chagrin, Du matin jusqu’au soir en fêtes, En noce du soir au matin ; Voilà les Lolo, les Lolo, les Lolo, Les Lorettes.
Une fête rustique !
Les organisateurs de fêtes populaires, disait-il, se disputaient cette perche pour l’employer en guise de mât de cocagne.