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174. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

C’est surtout à partir de 1836, année où furent fondés la Presse et le Siècle, que l’on vit apparaître une pléiade de talents à la plume vive et colorée.

175. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Ce qui est parfaitement admissible, c’est que l’affection véritable ait été précédée ou accompagnée d’une vive satisfaction d’amour-propre. […] Il écrit, dans ses Mémoires d’un Bourgeois de Paris : « Le bruit se répandit par quelques journaux allemands que Mlle Fanny Elssler avait inspiré une grande passion au duc de Reichstadt ; j’interrogeai à ce sujet l’ex-danseuse de Vienne avec une vive curiosité : je l’ai trouvée sincère, sans pruderie, et elle m’assura que cette passion du fils de l’Empereur pour elle n’était qu’un conte fait à plaisir22. » Pendant son séjour à Paris, Fanny se lia d’amitié avec Mme de Mirbel, miniaturiste très appréciée alors, auprès de qui elle se défendit aussi d’avoir été dans l’intimité du duc.

176. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Au dessert, comme la musique exécutait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ?

177. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Vive la Lorette !

178. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

La danse est au corps ce que la lecture est à l’esprit ; si la lecture est bonne, elle orne l’esprit et le fait briller d’un éclat plus vif que s’il était abandonné à ses seules ressources.

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