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183. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

L’absence du gros et bourdonnant personnage marquait comme l’arrêt d’un organe de la vie parisienne. […] Il vint présenter ses compliments à l’artiste et ajouta : « N’importe, Mamzelle Fanny, désormais je frapperai du pied droit. » Il le fit pour la première fois de sa vie à la représentation suivante et… se cassa la jambe.

184. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Je croyais voir son âme, sa vie, sa grandeur, elle m’absorbait dans sa personnalité.

185. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »

Les pas de deux, sur tout de galanterie ou de passion ; les pas seuls de grâce, les beaux développements des bras et des autres parties du corps qui se font sous un masque insensible, recevront enfin quelque jour, par les soins de nos excellents maîtres, la vie qui leur manque, qui peut seule ranimer la Danse et satisfaire pleinement les vrais amateurs.

186. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Ma vie dépendait de ce succès et maintenant ce seraient d’autres qui en recueilleraient le bénéfice.

187. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Il leur paraît absolument impossible qu’une femme pâle puisse jouer un rôle quelconque dans ma vie.

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