L’explication des planches par ordre se trouve à la fin du Traité.
Voici encore ce qu’enseignent sur cela les ministres protestans dans leur chapitre dixième de leur traité contre les danses.
« La natura opera ed insegna senza alcun discorso del saltatore, che quando vuol saltare, egli alza con impeto le braccia e le spalle, le quali seguitando l’impeto, si muovono insieme con gran parte del corpo, e levansi in alto, sino a tanto che il loro impeto in sè si consumi : il qual impeto è accompagnato dalla subita estensione del corpo incurvato nella schiena, e nella giuntura delle coscie, delle ginocchia e de’ piedi, la qual estensione è fatta per obbliquo, cioè innanzi ed all’insù ; e così il moto dedicato all’andare innanzi porta innanzi il corpo che salta, ed il moto di andare all’insù alza il corpo, e fagli fare grand’arco, ed aumenta il salto. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci, Traité de la peinture, ch.
Le traité de M. […] Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, il n’a traité que la poétique de l’art ; il en a saisi l’esprit et le caractère ; malheur à tous ceux qui ne peuvent ni le goûter ni l’entendre ! […] de Cahusac, si les grands talens sont rares ; ils ne demandent l’un et l’autre qu’une perfection que l’on pourroit atteindre avec de l’émulation ; le genre qu’ils ont traité est le genre par excellence ; il n’emprûnte ses traits et ses graces que de la nature.
que d’observations neuves, et combien de traités instructifs sortiroient de la société, si l’émulation des membres étoit éguillonnée et réveillée par les travaux qui leur seroient offerts ! […] Thoynot Arbeau, Chanoine de Langres s’est distingué le premier par un traité qu’il donna en 1588, et qu’il a intitulé Orchesographie il écrivoit au dessous de chaque note de l’air, les mouvemens et les pas de danses qui lui paroissoient convenables.