Le tumulte qui remplissait les rues Le Peletier et Grange-Batelière les soirs où l’affiche annonçait le Diable boiteux ou la Sylphide l’affligeait comme une preuve de la frivolité du public, et voici comment il essayait de se consoler de cet engouement pour une forme d’art qu’il jugeait inférieure : « Espérons, disait-il, que tout cela tournera à l’avantage de la musique et que l’argent même produit par la danse pourra servir à compléter peu à peu les richesses lyriques du théâtre si habilement administré par M.
Ce bâtiment, dont le portique ou arcade faisait l’entrée de la rue du Cahernan, produisait un heureux effet ; le carrosse de Madame la Dauphine tourna à droite pour entrer sur les fossés où était le corps des six régiments des troupes bourgeoises. […] Une chaloupe remplie de symphonistes, tournait sans cesse autour de la maison navale ; mais ce n’était pas le seul bateau qui voltigeait ; il y en avait autour d’elle quantité d’autres de toute espèce, et différemment ornés, qui faisaient de temps en temps des salves de petits canons. […] Au milieu de l’avant-cour on avait élevé entre les deux amphithéâtres une espèce de terrasse fort vaste, qui devait servir à plusieurs exercices, et on avait ménagé tout autour des espaces très larges pour le passage des carrosses, qui pouvaient y tourner partout avec une grande facilité.
Il écrit par exemple : « Les lecteurs remarqueront que les tourbillons de la rotation dans laquelle tout tourne autour de l’étoile polaire de la danse ont entraîné, sans résistance possible, l’auteur de l’article, tant sa critique est biscornue et tourbillonnante. » Voilà les pauvres fleurs qui poussaient pour Fanny sur les bords de la Sprée !
En passant sous le balcon en question, le capitaine tourne la position, il se mouche.
Le prince ajoutait que d’ailleurs il aurait été une femme des plus séduisantes et qu’à un âge avancé il aurait encore, comme Ninon de Lenclos, tourné la tête aux hommes.