29Et dans le même moment un poignard tombe à ses pieds. […] Il tombe entre les bras des Mages. […] Elle reconnaît son fils, l’embrasse, lui pardonne, tombe, et meurt. Ninias reprend le poignard pour se percer ; les Mages le désarment, l’entrainent ; la toile tombe, et le spectacle finit.
Il est devancé et suivi par un cortège nombreux ; il paroît ; on tombe à ses pieds ; les esclaves se retirent : il reste seul au milieu de ses femmes. […] Ce Prince balance, et dans l’instant où il va dévoiler le mystère, qui percera le cœur de Zélis, le chef des Eunuques paroît et lui annonce l’arrivée de la nouvelle épouse ; Zélis tombe mourante aux genoux du Sophi : les autres Sultanes expriment les divers mouvemens dont elles sont agitées. […] Zulmire obéit en tremblant ; le voile tombe ; les roses de la modestie et de l’innocence ajoutent encore à la beauté. […] L’infortunée Zélis se refuse aux volontés de son maître, elle est, pour ainsi dire, entraînée à cet hommage forcé par le chef des Eunuques ; elle s’avance suivie des principales Sultanes ; et au moment où elle va s’humilier, elle lève les yeux sur sa rivale, chancelle et tombe évanouie. […] Pendant cette scène la cruelle Fatnie paroît vers le fond avec Zélis : elle cherche à raffermir son bras mal assuré, elle la pousse, pour ainsi dire, vers le crime ; Zélis approche, lève une main tremblante ; le Sophi se retourne ; le fer lui échappe ; elle tombe aux pieds de son amant et de sa rivale ; les inonde des larmes du repentir, déclare sa complice, relève le poignard pour s’en percer le sein : Zulmire la désarme : le Sophi irrité appelle ; on accourt, on enchaîne Fatnie.
À la suite de cette pirouette miraculeuse, Menelaüs tomba, dit-on, dans une longue extase, pendant laquelle l’Institution de l’Ordre des Dervis lui fut inspirée. […] Il y en a plusieurs qui poussent cet exercice violent jusqu’à ce qu’ils tombent enfin d’étourdissement, et de lassitude.
s’écrie Giselle, les mains jointes, laissez-moi mon Loys, ne le faites pas mourir ; qu’il jouisse encore de la douce lumière des cieux, pour se souvenir de moi, et pleurer sur ma tombe : il est si bon de sentir une tiède larme pénétrer sous terre jusqu’à vous, et tomber d’un œil brûlant sur notre cœur glacé. — Non, non, non, qu’il danse et qu’il meure ! — Ne les écoute pas, mon Loys ; attache-toi à la croix de ma tombe. […] Cette danse éblouissante, vertigineuse dure déjà depuis longtemps ; Albrecht pâlit, sa respiration devient courte, il va tomber dans l’eau perfide ! […] Giselle tombe affaissée sur le gazon, les fleurs l’enveloppent et se referment sur elle, et son corps transparent se fond comme une vapeur. […] Une rose qu’il cueille sur la tombe, une rose où l’âme de Giselle a laissé son chaste parfum, voilà désormais tout ce qui reste au comte Albrecht de la pauvre villageoise.
La jeune Indienne veut courir ; elle tombe évanouie entre les bras de ses nouveaux maîtres. […] Les sauvages veulent tomber sur lui ; Zoraïm les retient ; il reproche à Belton sa perfidie et lui offre le combat. […] Belton sort un moment et reparoît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la jeune femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la grace de leur père. […] Témoins de la scène qui se passe, ils expriment leur surprise et leur indignation ; Eliza vole dans les bras de son père et de sa mère ; ils la repoussent ; elle tombe à leurs pieds ; elle les arrose des larmes du repentir et de l’amour filial. […] Les colons leur otent la petite chaîne qu’ils portent en signe d’esclavage ; les nouveaux affranchis tombent aux pieds de leurs libérateurs ; mais ceux-ci les relèvent et les embrassent en signe de fraternité.