Un mot qui sortait de la bouche de la Sybille [Sibylle], était plus puissant que ne peuvent l’être aujourd’hui, la raison, la discussion, l’expérience, et les meilleurs traités. […] Elle était l’image des détours du Labyrinthe de Crète, des évolutions que Thésée avait imaginées pour en sortir, de son combat avec le Minotaure, et de son triomphe.
Robinet, lettre du 11 janvier 1670129 Toujours la Cour, nombreuse et gaie, Gîte en son Saint Germain en Laye, Dont à Paris, il déplaît fort, Ne pouvant avoir un doux Sort, Sans voir son Grand, et charmant Sire.
Ils sortaient à peine des mains du Créateur la voûte azurée des Cieux, la lumière, l’éclat, la chaleur du Soleil, les Astres de la nuit, l’immense variété des productions de la terre, tous les Êtres vivants et inanimés, étaient pour les yeux des premiers humains, des signes éclatants de la toute puissance de l’Être Suprême, et des motifs touchants de reconnaissance pour leurs cœurs.
Des Ballets, d’Entre-actes, servirent, Qui plurent et qui réjouirent, Ayants pour visée et pour fin Le sort de Monsieur le Dauphin.
Il sort en faisant à Campaspe les plus tendres adieux, et pendant cette scène, il va examiner les chefs d’œuvres qui composent la galerie d’Apelles. […] Roxane, dévorée par la jalousie s’est introduite dans l’atelier d’Apelles ; elle est témoin de l’hommage qu’il rend à Campaspe ; elle fait éclater la joie que lui donne l’espoir de perdre sa rivale, et sort on faisant entendre qu’elle va dévoiler à Alexandre la trahison du peintre et la perfidie de Campaspe. […] Alexandre, prévenu par Roxane, entre sans bruit ; il approche ; à la vue du groupe qui lui semble céleste ; il applaudit à l’imagination brillante de l’artiste ; il voit qu’il a été trompé, et il sort pour ne point distraire Apelles de son travail. […] Alexandre, non content d’avoir pardonné à Campaspe et à l’artiste, veut encore les unir et leur ordonne de le suivre ; ils sortent avec lui, en exprimant leur félicité et leur reconnoissance.