. — Excellente mère de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des Dames, ou Etrennes aux Oisifs, publié, en l’an de grâce 1831, par Paul Domère, libraire, rue du Cimetière-Saint-André-des Arts ; vous y rencontrerez, à l’adresse de mademoiselle Marsolier, « élève de Terpsychore à l’Académie royale de musique », ce couplet qui pourrait, à bon droit, s’appliquer également à mademoiselle Bernay.
Tous deux représentèrent avec éclat au mois de juin 1837 l’Académie royale de Musique aux fêtes qui se donnèrent à Versailles à l’occasion du mariage du duc d’Orléans. […] C’était une femme du monde, Mme de Mirbel, la miniaturiste attitrée de la famille royale.
*** Parmi les plus agréables ballets de l’Académie royale de musique, il en est peu qui, pour l’éclat et la fidélité des costumes, l’heureuse disposition de la mise en scène et la facilité brillante de la musique, méritent mieux que le Diable boiteux la vogue populaire dont il jouit encore.
A Munich, où elle fut engagée au théâtre royal, elle plut à la cour autant qu’à la foule.
Marie-Amélie et tous les membres de la famille royale présents à Paris s’étaient empressés de venir applaudir aux fugitifs aspects de celle dont la France ne se séparait qu’avec tant de dépit, d’efforts et d’amertume.